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UNQuiconque se sort de la queue gonflée, bilieuse et apitoyée sur son sort d’un Noël familial particulièrement exténuant pourrait apprécier comment une guirlande de guirlandes pourrait être réutilisée comme un fil de garrot, ou qu’un ensemble de casse-noix pourrait causer de sérieux dommages. Mais c’est un témoignage de l’engagement envers le carnage festif dans la comédie d’horreur Nuit violente que quelque chose d’aussi inoffensif qu’une canne en bonbon est militarisé (avec des pièges saisonniers plus évidemment dangereux tels que des glaçons ornementaux et une étoile de la nativité extrêmement pointue).
Le dernier film du spécialiste norvégien de la pâte à papier Tommy Wirkola (peut-être mieux connu pour l’image de zombie nazi Neige morte) est un thriller de cambriolage d’une violence exubérante. Les membres de la famille de la matriarche milliardaire Gertrude (Beverly D’Angelo) regardent le tonneau d’une nuit silencieuse en permanence, grâce au méchant détestant Noël « Scrooge » (John Leguizamo). Leur seul espoir de survie est le Père Noël (Choses étrangesde David Harbour), ivre et désabusé après des siècles de travail, qui gare son traîneau sur le toit de Gertrude. Le charisme blasé de Harbour est l’arme secrète du film (cela et un énorme marteau).
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