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RLa musique ap a une longue histoire de dire la vérité au pouvoir, de disséquer la politique et de donner la parole aux marginalisés. La production de l’artiste du nord de Londres, Louis VI, est un ajout bienvenu à cette lignée, centrant le mouvement pour la justice climatique au milieu de réflexions plus personnelles dans ses paysages sonores teintés de psychédélisme.
Le producteur autodidacte, multi-instrumentiste, rappeur et activiste a sorti son premier album, Sucre comme le selen 2018. Son suivi, Terrien, se sent comme une intensification de l’intention. Tissant ensemble un amour pour la mélodie et une multitude de genres (hip-hop, doux morceaux d’afrobeat, jazz, funk, électronique), il est traversé d’enregistrements de terrain atmosphériques qui s’inspirent de son temps passé dans le monde naturel : des sons d’orage du La forêt amazonienne côtoie les chants d’oiseaux luxuriants des bois du Royaume-Uni. Terrien est plein de paroles opportunes ruminant doucement sur des questions sur l’individualisme, le colonialisme, le capitalisme et l’état de la nation (sur Orange Skies, il observe : « Les politiciens m’ont fait bouger la gorge dure/ Bouc émissaire des migrants dans des bateaux coulés/ Alors qu’ils dépensent nos impôts sur certains top coke / Abattre nos forêts jusqu’à ce que nous toussions de la fumée »).
Faisant appel à des amis et à des pairs tels que Lex Amor, Oscar Jerome et Mick Jenkins pour des longs métrages exceptionnels, Louis VI crée un travail qui regorge de vérités inconfortables enfermées dans une musicalité riche et chaleureuse.