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R.le premier album d’Achael Lavelle, Gros rêves, arrivé en novembre dernier. Avec une voix sombre glissant sur une électronique ondulante et des bois lugubres et ruminatifs – la clarinette est particulièrement frappante – il n’est peut-être pas surprenant d’apprendre qu’elle travaille toujours à temps partiel comme chanteuse funéraire dans sa ville natale de Dublin.
Les paroles de Lavelle considèrent le monde étrange des algorithmes numériques et de l’optimisation en ligne. Des lignes ironiques telles que « Spotted, male, Liberal, Spiritual, Sagittarius » de My Simple Pleasures font un clin d’œil à la banalité des applications de rencontres. Gratitude explore l’angoisse de perdre du temps en ligne. En apparence, c’est un disque hivernal et douillet, mais Gros rêves est désarmant et superposé; il a récemment été sélectionné pour le prix Ireland’s Choice Music.
Bien que son grand-père soit musicien (il a co-écrit le film irlandais de l’Eurovision de 1967), l’intérêt de Lavelle pour l’écriture de chansons a été éveillé après avoir participé à un spectacle musical à l’université. Son premier album complet arrive près d’une décennie plus tard ; une période au cours de laquelle elle a perfectionné son art, composant, effectuant des petits boulots et soutenant ses compatriotes de Dublin, Lankum, en tournée. Le résultat est une art-pop à combustion lente, à la fois inventive et apaisante.
« Clignez des yeux deux fois si vous êtes seul », chante-t-elle d’une voix traînante lente et envoûtante sur Eat Clean, avec un regard latéral tourné vers les mantras omniprésents des influenceurs du bien-être. L’art qui réfléchit à l’isolement urbain contemporain n’est pas nouveau, et pourtant il y a quelque chose de doucement convaincant et bienvenu dans la vision de Lavelle.
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Gros rêves est maintenant disponible sur Rest Energy. Rachael Lavelle joue Gullivers, Manchester (11 février), the Waiting Room, Londres (13 février) et dans Imagining Ireland au National Concert Hall, Dublin (3 mars) et Barbican, Londres (4 mars)