Customize this title in french Alison Goldfrapp: La critique de Love Invention – pas assez meurtrière | Musique de danse

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Ou cours de sept albums entre 2000 et 2017, Goldfrapp – Alison et Will Gregory – n’ont jamais eu peur de croiser les genres, qu’il s’agisse de créer le brillant hybride glam-dancefloor de Surnaturel ou l’électronica rustique hypnotique de Septième arbre. Compte tenu de cela, c’est une légère surprise que L’invention de l’amour, ses débuts en solo, est si simple. Il comprend 11 tranches de disco et de house (certes supérieures), avec peu de déviations inattendues.

Opener NeverStop donne le ton, une douce voix légèrement surnaturelle flottant au-dessus d’un rythme insistant et irrésistible. Le palpitant So Hard So Hot parvient d’une manière ou d’une autre à marier sensualité et peurs de la crise climatique (« Nous devrions être ici et maintenant et aimer ce que nous avons », chante-t-elle à bout de souffle); Digging Deeper Now est doté d’un chœur divin. Mais ailleurs, les goûts de Hotel (Suite 23) et In Electric Blue sont un peu décevants, et vous vous rendez compte que pour un album destiné si carrément à la piste de danse, ce qui manque, c’est un remplisseur de sol hors concours. Il n’y a rien ici qui se rapproche de Ooh La La, et certaines de ces chansons légères mais élégantes s’estompent trop loin dans l’arrière-plan.

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