Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Few réalisateurs capturent l’état énervant et non amarré d’être un expatrié aussi efficacement que Claire Denis. Désengagés de leurs racines, ses vagabonds et opportunistes sans changement sont attirés par des comportements inhabituels – des impulsions obsessionnelles, imprudentes et autodestructrices qui marinent sans contrôle tandis que ses personnages se concentrent sur le fait d’être un étranger dans un pays étranger. C’est vrai de Chocolat, son premier film; de Beau travail et de Matériau blanc, qui se déroulent tous en Afrique. Dans une certaine mesure, cela s’applique à son image de science-fiction Haute vie. Et elle renoue avec l’expérience d’expatriée avec son dernier film, Les étoiles à midisitué dans le Nicaragua actuel et adapté du roman de Denis Johnson de 1986.
Au coeur sale de l’histoire se trouve Trish (Margaret Qualley, excellente), une jeune Américaine arrivée dans le pays avec une carte de presse et des ambitions professionnelles rapidement érodées, ainsi que sa réserve de dollars. Au moment où nous la rencontrons, elle est en mode survie, faisant des tours pour la monnaie et les faveurs du marché noir. Lorsqu’elle rencontre Dan (Joe Alwyn), un Anglais suave qui dit qu’il travaille pour une compagnie pétrolière, elle est d’abord attirée par sa confiance courtoise et sa réserve de dollars. Mais une histoire d’amour se développe – une passion intense mais circonstancielle, embrassée de la même manière que l’alcool, pour bloquer les menaces croissantes des hommes avec des sourires en forme de couteau et des armes à feu.
Jouant dans des motels bon marché avec des murs en sueur, c’est une pièce d’ambiance langoureuse plutôt qu’un thriller, mais qui laisse un sentiment d’inconfort qui se glisse sur la peau comme une éruption cutanée.
Sorti le 19 juin au Royaume-Uni sur les plateformes numériques.