Customize this title in french D’abord les livres de bibliothèque, maintenant le drapeau de la fierté. Quelle est la prochaine étape, à Huntington Beach ?

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Pour l’éditeur: Je ne sais pas ce qui est le plus déprimant : le fait qu’Huntington Beach ait adopté la mesure haineuse interdisant l’affichage du drapeau de la fierté LGBTQ+ sur la propriété de la ville, ou que seulement 23 % des électeurs inscrits de la ville se soient suffisamment souciés de voter.

Cela en dit long sur notre ville, et ce n’est pas bon. Qu’y a-t-il de si horrible à déployer un drapeau arc-en-ciel sur la propriété de la ville pour montrer son soutien à un groupe marginalisé ?

Le maire Pro Tem Pat Burns aurait déclaré : « Pour moi, il est humiliant pour la communauté LGBQ de hisser ce drapeau. » Selon son raisonnement, ne serait-il pas également humiliant pour les soldats et leurs familles de arborer le drapeau POW-MIA ? Bien sûr que non.

Le drapeau POW-MIA flotte à l’hôtel de ville tout au long de l’année ; le drapeau LGBTQ+ n’a été arboré que pendant le mois de la fierté. Désormais, il ne sera probablement plus jamais utilisé.

Premièrement, il y avait les restrictions imposées aux bibliothèques sur les livres traitant de l’homosexualité et de la puberté. Nous avons désormais une interdiction de drapeau. Quelle est la prochaine étape, à Huntington Beach ? Qu’est-il arrivé à l’enseignement de la compassion aux enfants envers ceux qui sont différents de vous ?

Barbara Richardson, Huntington Beach

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Pour l’éditeur: Bien que je ne soutienne en aucun cas la rhétorique sectaire ou anti-LGBTQ+, je m’oppose au fait de faire flotter tout drapeau, autre que notre drapeau d’État ou national, sur un bâtiment public.

Si nous sommes tous égaux devant la loi, alors les deux seuls drapeaux qui devraient nous représenter selon les lois du pays sont celui de l’État et celui du pays.

Denis Montenaro, Laguna Niguel

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Pour l’éditeur: Les partisans de l’interdiction par Huntington Beach de faire flotter certains drapeaux sur les propriétés de la ville sont clairement politiques et malhonnêtes dans leur défense.

Soi-disant limitant les drapeaux à ceux des entités gouvernementales, l’initiative permet d’afficher le drapeau POW-MIA. Ce drapeau est le symbole d’une organisation à but non lucratif que les électeurs semblent soutenir, contrairement à d’autres qu’ils ne soutiennent pas.

Il ne s’agit pas ici de critiquer l’une ou l’autre des organisations, mais seulement de souligner que le raisonnement qui sous-tend l’interdiction est incohérent. Honte à Huntington Beach.

Lon M. Burns, Manhattan Beach

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