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Noriginaire du bassin méditerranéen, agretti (Soda salsola) est une culture particulièrement appréciée des Italiens, qui la recherchent et la cultivent. Pourtant, les feuilles en forme d’aiguilles (semblables à la ciboulette) de ce légume, également connu sous le nom de saline ou barbe de moine (de l’italien barba di frate) – restent un spectacle rare sur les menus britanniques.
Ses feuilles succulentes – au goût savoureux et légèrement amer, avec un soupçon de saumure – ne plairont peut-être pas à tout le monde, mais cela vaut la peine de s’y essayer – pour relever le défi de réussir à cultiver une plante un peu délicate.
Dans son environnement préféré – les marais côtiers ensoleillés – l’agretti pousse abondamment. Il peut également bien fonctionner dans la partie la plus ensoleillée de votre jardin, mais le défi est de le démarrer.
Il est essentiel de semer les graines dès que vous les recevez, car les chances de germination réussie diminuent rapidement avec le temps. Ne pariez pas sur une viabilité supérieure à trois mois – ne laissez pas le paquet languir dans la trémie !
Le taux de germination d’Agretti n’est pas non plus excellent, alors semez plus que ce que vous avez de place (alors, si vous avez de la chance, vous aurez des plants supplémentaires à présenter à d’autres producteurs qui, vous pouvez parier, apprécieront grandement ce cadeau peu commun).
Le printemps – à l’heure actuelle – est une bonne période pour semer des agretti. Faire tremper les graines pendant la nuit aidera à adoucir leur couche extérieure dure et à relancer la germination. Vos plantes doivent être suffisamment grandes pour être plantées dans le sol entre six et huit semaines après leur première germination, et elles auront besoin de 20 cm d’espace entre elles pour se remplir.
Une fois qu’il pousse bien, l’agretti est une culture assez peu exigeante. Il aime les sols à drainage libre mais n’a pas besoin d’être nourri, et comme il préfère pousser dans de l’eau saumâtre (légèrement salée), cela ne le dérange pas si le sol est humide (mais pas gorgé d’eau). Attention cependant à ce qu’il n’ait pas soif par temps sec, car cela peut gêner la croissance des feuilles et altérer le goût.
Avec son port dressé et son feuillage élancé, l’agretti peut avoir du mal à rivaliser avec les mauvaises herbes, alors gardez le sol environnant dégagé. Cela dit, il semble rester insensible aux ravageurs et aux maladies la saison dernière (dans le sud du Royaume-Uni), ce qui est toujours une bonne qualité dans une culture. Il récompensera une récolte bien exécutée (coupée juste au-dessus d’un point de croissance, comme pour le basilic) par une croissance plus touffue.
C’est une plante qui se mange crue : j’aime l’ajouter à une salade composée, arrosée de vinaigrette. Le plus souvent, il est préparé comme un légume à feuilles comme les épinards ou les blettes : sauté dans de l’huile d’olive avec de l’ail, puis un peu de citron et du poivre noir fraîchement moulu. J’aime le servir en accompagnement ou autour de pâtes dans ce que l’on appelle maintenant dans notre maison les « spaghettis agretti ».