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Un service de police américain a été contraint de mettre fin à sa pratique consistant à utiliser des têtes de Lego pour cacher des visages suspects après que Lego a contacté le service pour qu’il cesse d’utiliser sa propriété intellectuelle. Le département de police de Murrieta, dans le sud de la Californie, a commencé à le faire en raison d’une nouvelle loi de l’État qui interdit aux services chargés de l’application des lois de partager des photos suspectes de crimes non violents, sauf circonstances spécifiées.
De plus, la nouvelle loi exige que les agences suppriment les photos suspectes des réseaux sociaux après 14 jours, sauf circonstances particulières.
Pendant des mois, le service de police de Murrieta, dans le sud de la Californie, a publié des images de suspects de crimes prétendument non violents, avec des têtes de Lego imposées numériquement sur leurs visages.
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Mais le groupe Lego a contacté la police plus tôt cette semaine et « a respectueusement demandé de renoncer à sa propriété intellectuelle », a rapporté Forbes.
La police de Murrieta n’utilisera désormais plus de têtes Lego pour se conformer aux lois de l’État sur la confidentialité.
Le service de police explore désormais de nouvelles méthodes pour publier du contenu « d’une manière engageante et intéressante » pour ses abonnés sur les réseaux sociaux.
Pleins feux sur le projet de loi 994 de l’Assemblée de Californie
Le projet de loi 994 de l’Assemblée de Californie, entré en vigueur le 1er janvier plus tôt cette année, exige entre autres que les services de police suppriment les photos de suspects partagées sur les réseaux sociaux après 14 jours « sauf circonstances spécifiées ».
Il oblige également les services de police à utiliser les pronoms et le nom fournis par un suspect dans toutes les publications sociales.
Mais l’obligation de couvrir le visage des suspects lors des réservations de photos remonte également à une loi de 2021 qui interdisait aux services de police de publier des photos de réservation de suspects accusés de crimes non violents, à quelques exceptions près.
La pratique du département consistant à couvrir le visage des suspects remonte au moins jusqu’en 2022, selon sa page Instagram. Il a évoqué la présomption d’innocence jusqu’à preuve du contraire pour tous les suspects et des préoccupations concernant la charge de travail pour déterminer quelles photos seraient publiées et lesquelles ne le seraient pas.
(Avec la contribution des agences)