Customize this title in french Format de sprint, succès ou échec ? Les rédacteurs de PlanetF1.com ont leur mot à dire

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa F1 a déployé son format Sprint modifié pour le Grand Prix d’Azerbaïdjan, alors comment a été l’accueil dans les tours PlanetF1.com ? Nous avons notre mot à dire… Après avoir lutté avec des moyens d’animer le format de qualification Sprint au cours des deux dernières années avec un succès limité, le Grand Prix d’Azerbaïdjan a vu le déploiement d’un nouveau format pour faire du Sprint un événement complètement autonome pendant le week-end GP. Les essais étaient une séance d’une heure le vendredi matin, avant les qualifications du GP le vendredi après-midi – le Sprint n’ayant aucun effet sur la grille de départ de la course de dimanche. Avec l’action de samedi indépendante des qualifications pertinentes pour le Grand Prix de vendredi, PlanetF1.com revient sur le week-end et évalue si c’est un oui ou un non ! Michelle Foster Je ne suis pas fan des gadgets. Si vous avez besoin d’un gadget pour attirer l’attention, votre produit est défectueux – ou vous avez Red Bull sur la grille. Malheureusement, dans la F1 d’aujourd’hui, malgré les puissances qui espèrent introduire un plafond budgétaire et modifier la réglementation, Red Bull a pris un avantage qui ne risque pas d’être effacé cette saison, certains ne craignent même pas l’année prochaine, donc des gadgets sont nécessaires. Entrez dans les courses de sprint, bien que plus précisément à Bakou, les jours de sprint. C’était étonnamment mieux que prévu, et pourtant pas tout à fait là. Si tu vas danser avec le diable, tango ! Le Sprint Shootout était nettement meilleur qu’une heure FP2 de voitures faisant le tour de la piste. Cela a donné un peu de drame dans un accident pour Logan Sargeant mais à la fin de tout cela, c’était toujours les mêmes voitures dans le top dix, l’autre Williams d’Alex Albon l’exception à cela. La course n’a pas non plus offert l’excitation que les patrons de Formule 1 espéraient d’un événement autonome, car même si un accident n’aurait pas de conséquences pour la grille du Grand Prix, il aurait toujours des implications financières et devait donc être évité à tout prix. . Aucune passe Hail Mary n’a été lancée, bien que Max Verstappen puisse avoir une opinion différente à ce sujet. C’était un pas dans la bonne direction, mais ce n’était pas assez grand. Si la Formule 1 veut emprunter la route du jour Sprint, le sport doit lever la main, crier du haut de la montagne, écrire dans le ciel et mourir sur cette épée de divertissement artificiel. Donnez-nous des qualifications avec les dix premiers du classement en pneus durs aux 10 autres pilotes en softs, un tour lancé pour chaque pilote, donnez-nous 25 points pour le vainqueur de la course ou même une grille inversée. Donnez-nous quelque chose de plus qu’une simple version abrégée des qualifications et de la course. Si vous voulez créer du drame, créez-le, sinon le jour du Sprint perdra rapidement son attrait pour les masses. Thomas Maher Je sais à peine par où commencer avec ma liste de critiques du nouveau format Sprint, tel est mon mécontentement face à la façon dont le sport cherche constamment des moyens de déprécier son tableau principal. Mais je commencerai, et je commencerai par le fait que la F1 a créé un week-end de deux courses, le Sprint devenant essentiellement une bande-annonce de film qui révèle toutes les bonnes blagues. La course Sprint de samedi a montré que, sur une distance plus longue, Red Bull était tout simplement plus rapide – annulant ainsi complètement l’excitation de ce qui pourrait arriver dans le Grand Prix lui-même. Bien qu’une course Sprint et une course Feature fonctionnent bien en Formule 2, il est important de se rappeler que la catégorie junior est une série de spécifications et que le but est que les pilotes s’entraînent beaucoup au combat roue contre roue avant d’entrer dans le première classe. Nous n’avons pas besoin de donner aux pilotes de F1 cette formation (du moins, nous devrions espérer que non !). La suppression presque complète du mot le plus sale de la F1, «entraînement», se traduit par des voitures configurées de manière moins qu’optimale et les règles du parc fermé empêchent les équipes de corriger ces erreurs – il suffit de regarder comment Carlos Sainz était un complet non-entité en raison d’être coincé avec une mauvaise configuration et les pilotes qui choisissent la pitlane commencent. Dans une moindre mesure, Verstappen était également mécontent de la configuration de son RB19 après n’avoir eu aucune chance de l’affiner. La F1 est censée être autant une série d’ingénierie que de pilotes. Le format Sprint exige que ces merveilles de la science de plusieurs millions de livres soient créées, uniquement pour que les règles sportives les empêchent d’être exécutées de la manière la plus optimale possible – où est le plaisir de voir des pilotes paralysés et des voitures dont nous savons qu’elles ne sont pas exécutées le meilleur de leur capacité? En tant que fan de F1 depuis 25 ans, je me suis retrouvé à ne pas me soucier de ce qui s’est passé vendredi et samedi. J’ai peut-être dû écrire à ce sujet, mais je m’en fichais. Du jamais vu! Ce n’est que dimanche que le sang a commencé à pomper normalement. Et, non, je ne suis pas en faveur de simplement «apprendre» de ces lacunes et de faire évoluer davantage le format. Pas de règles idiotes et alambiquées pour ouvrir le parc fermé, changer davantage le système de points pour donner plus d’importance au Sprint ou pour évaluer les grilles inversées, ou n’importe laquelle de ces bêtises. Le football n’organise pas un match séparé de 15 minutes pour des points mineurs avant la finale de la Ligue des champions, n’est-ce pas? Il est temps que la F1 ait confiance en son propre produit plutôt que d’essayer de créer une excitation artificielle à chaque tournant. La popularité du sport a augmenté de façon exponentielle sans cet état d’esprit, alors pourquoi la réponse a-t-elle été de changer l’ADN d’un week-end qui se prépare lentement à la grande course ? Remettez-le, s’il vous plaît. Remettez-le simplement à Practice-Qualifying-Race et redonnez à un week-end de Grand Prix son caractère sacré. Olivier Harden Dans un monde idéal, la F1 arrêterait ce non-sens ici, maintenant. Mais les modifications apportées au format et même la présentation du sprint pour Bakou – quelqu’un d’autre a-t-il remarqué un remix du thème de la F1 joué juste avant le début de la course de samedi ? – révèlent une volonté claire de le faire fonctionner. Si la nouvelle version du sprint en Azerbaïdjan était censée être la réponse, cependant, le sport pose la mauvaise question. Il n’y avait rien à aimer à ce sujet, des qualifications qui se sont déroulées tôt le vendredi après-midi lorsque des milliers de fans étaient autrement engagés – ce n’est en direct qu’une seule fois, après tout, comme un diffuseur aime nous le rappeler – à la journée de sprint autonome, rendant le samedi en cours d’exécution une absence totale de pertinence pour la première fois dans l’histoire de la F1. La tentative d’organiser une séance de qualification et une course raccourcies comme une tentative d’audace est au cœur du problème. Si le sprint doit un jour justifier son existence, surtout maintenant que le résultat de la course n’a aucun impact sur le grand prix lui-même, il doit offrir quelque chose qui sort de l’ordinaire. Plutôt que de livrer « trois jours d’action compétitive », comme le week-end de Bakou a été facturé, peut-être qu’un mantra moins c’est plus est nécessaire. Une courte séance d’essais le samedi matin, par exemple, pourrait-elle être suivie d’une course de sprint avec une grille de départ disposée dans l’ordre inverse du championnat, avec pour résultat l’établissement de la grille pour le grand prix de dimanche ? Cela pourrait faire reculer les statisticiens d’horreur, mais au moins ce serait plus observable. Et infiniment plus excitant. Le sprint ne peut pas continuer sous sa forme actuelle. Le moment est venu d’y aller fort ou, selon les mots de Max Verstappen, de « juste tout abandonner ». 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