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Plus de 200 scientifiques exhortent les gens à voter oui lors du référendum, après un printemps qui a été en moyenne de 1,5 ° C plus chaud que la normale.
La Suisse vote une nouvelle loi climatique « importante » après une source chaude record.
Le peuple suisse aura son mot à dire sur la loi sur les objectifs de protection climatique, l’innovation et le renforcement de la sécurité énergétique le 18 juin. S’il est voté, il verra le riche pays européen réduire ses émissions nettes de gaz à effet de serre émissions à zéro d’ici 2050.
La nouvelle loi a été acceptée par le Parlement en septembre de l’année dernière, mais l’opposition du Parti populaire suisse de droite a signifié qu’elle est soumise à un référendum.
Les citoyens suisses jetteront leur voix quelques semaines seulement après une source exceptionnellement chaude.
Le pays était en moyenne de 1,5 ° C plus chaud que la normale – par rapport à la période 1961-1990 – a rapporté SRF Meteo. Les températures quotidiennes moyennes étaient plus chaudes de 3 ° C en mars, la ville de Bâle, dans le nord-ouest, atteignant un record de 23,4 ° C au milieu du mois.
Pour un si petit pays, il y a eu une quantité surprenante de variabilité climatique jusqu’à présent ce printemps. La Suisse centrale et orientale a connu un déluge de pluietandis que certaines parties du sud étaient extrêmement sec.
Il reste à voir si et comment ces conditions météorologiques extrêmes influenceront les électeurs le mois prochain.
Que contient la loi suisse sur le climat et l’innovation ?
La loi sur le climat et l’innovation – autrement connue sous le nom de loi sur la protection du climat – obligera la Suisse à la neutralité climatique d’ici 2050. Cela signifie que ses émissions de gaz à effet de serre ne pourront pas dépasser la quantité de gaz nocifs aspirés par ses puits de CO2 – de les forêts pour captage du carbone technologie.
La Suisse importe actuellement environ les trois quarts de son énergie, y compris gaz fossilede l’étranger.
Le gouvernement dit que « ces combustibles fossiles ne seront pas disponibles indéfiniment et qu’ils pèsent lourdement sur le climat. Afin de réduire la pollution de l’environnement et la dépendance à l’égard d’autres pays, le Conseil fédéral et le Parlement veulent réduire la consommation de pétrole et de gaz.»
La nouvelle loi encouragera financièrement le remplacement du pétrole et du gaz par énergie proprele gouvernement s’engageant à verser 2 milliards de francs (environ 2 milliards d’euros) sur 10 ans pour la transition.
Les personnes qui remplacent leurs systèmes de chauffage dépendant des combustibles fossiles en bénéficieront, ainsi que les entreprises qui investissent dans des « les technologies”.
« L’objectif est de produire plus d’énergie en Suisse », ajoute le gouvernement, décrivant la loi comme un contre-pied indirect à la « Glacier Initiative » – une proposition distincte visant à interdire les combustibles fossiles.
Il a le soutien de tous les autres grands partis, mais le Parti populaire a qualifié la loi de « gouffre électrique » qui nuira à l’économie.
Des scientifiques suisses soutiennent la nouvelle loi sur le climat
Du côté des « pour », la communauté scientifique suisse a exprimé son soutien à la loi sur la protection du climat.
Écrire pour l’ETH Zurich Reto Knutti, professeur à l’université de physique du climat, l’appelle « un pas en avant important dans le domaine de la politique climatique et énergétique » après « des années d’impasse politique ».
Knutti est l’un des plus de 200 scientifiques des universités suisses qui ont signé une déclaration publique en faveur de la proposition, qui, selon eux, rendra le pays plus fort.
« Quand cela vient à changement climatiquela recherche ne peut plus vraiment se permettre de rester apolitique », écrit-il.
Knutti dit d’une part que la réduction rapide des émissions de carbone de la Suisse n’est « que la conclusion logique des lois de la physique et des obligations qui découlent de la ratification par la Suisse de l’Accord de Paris ».
« Pourtant, d’un autre côté, une telle affirmation est aussi un appel à l’action et, en tant que tel, une déclaration politique », ajoute-t-il.
La loi sur la protection du climat, selon les scientifiques, est un pas important dans la bonne direction.