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UN Un ver géant parasite est sorti de terre et est en train de dévorer l’Angleterre, transformant le pays en cauchemar féodal. C’est le concept admirablement fou derrière le deuxième disque du quatuor d’art rock londonien HMLTD. Après A l’ouest d’Edenleurs débuts imprégnés de synthé en 2020, Le ver – tout comme la bête mythique de son titre – est un effort gargantuesque, couvrant tout, des freakouts de free jazz à l’opéra rock progressif et aux cordes orchestrales. Le chanteur Henry Spychalski raconte une histoire de défi contre le ver, qui peut être lue comme une métaphore de la terreur ou de la force apocalyptique de la crise climatique.
Soutenu par un chœur gospel, une section de cordes de 16 musiciens et des fanfares de cor, HMLTD aborde avec confiance des styles musicaux aussi variés que l’harmonie chorale (Worm’s Dream), la soul chargée de crochets (The End Is Now), le rock grungy (Saddest Worm Ever) et le plaintif ballade pop (Lay Me Down). Alors que le thème de l’album est un fil conducteur divertissant, l’exposition narrative peut mener des morceaux tels que les Wyrmlands chargés de riffs dans le territoire du théâtre musical alors que Spychalski fourre les paroles au milieu de la virtuosité instrumentale. C’est cette richesse qui donne à l’album sa profondeur, exploitant un grand ensemble pour présenter HMLTD comme un groupe capable de s’engager dans de grandes visions avec une intensité brillante.