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Til y a bien plus de problèmes avec l’investissement public britannique que HS2. Je constate cela en tant que gouverneur d’une petite école primaire qui compte sur les parents pour financer de nouveaux terrains de jeux et des équipements informatiques, et, de manière un peu moins personnelle mais tout aussi claire, dans nos recherches de la Resolution Foundation. Il y a quatre problèmes liés.
Premièrement, l’État britannique investit tout simplement trop peu : l’économie avancée moyenne de l’OCDE a investi 50 % de plus (par rapport au PIB) que le Royaume-Uni au cours de ce siècle. Les résultats sont partout, des écoles infestées de Raac aux routes défoncées. Nos politiciens sont fortement incités à réduire les investissements publics pour demain (c’est plus facile que de licencier des infirmières ou d’augmenter les impôts aujourd’hui). Et nos règles budgétaires se concentrent étroitement sur la dette nette, ignorant la valeur des actifs inscrits au bilan du secteur public.
Deuxièmement, les investissements publics sont trop volatils. Les variations des dépenses d’investissement des ministères sont six fois plus volatiles que les dépenses quotidiennes, ce qui empêche une planification à long terme et garantit un faible rapport qualité-prix. Lorsque nous voulons investir, essayer d’augmenter rapidement les dépenses signifie payer par le nez ou ne pas réussir à dépenser l’argent (le gouvernement ne dépense pas 1 £ sur 6 £ d’investissement prévu).
Ensuite, il y a les réductions immédiates. Les niveaux d’investissement public sont désormais plus élevés que ce que nous avons vu depuis un certain temps. Mais le gouvernement a prévu des réductions significatives (de 2,5 % du PIB à 2,2 % en 2027-28). C’est insensé alors que la Grande-Bretagne doit investir davantage, pas moins, notamment pour la transition vers le zéro émission nette.
Enfin, la manière dont nous investissons est en proie à des problèmes. HS2 décrit la folie des prises de décision politiques opaques, des approbations de projets interrompues et des dépassements de coûts chroniques.
Il n’existe aucune voie plausible pour sortir de la stagnation actuelle sans devenir un pays qui investit davantage – et de meilleure qualité. Il est temps d’investir pour l’avenir et d’arrêter de vivre de notre passé.