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Maysoon al-Nabahin presse le dernier morceau de fromage en carton sur un morceau de pain fraîchement sorti du four, sachant que ce sera la seule chose que sa famille de huit personnes mangera ce jour-là.
Umm Muhammed, comme on l’appelle, a fui une école à Bureij où elle se réfugiait avec son mari et ses six enfants après que les forces israéliennes ont détruit leur maison à l’est de Bureij, dans le centre de Gaza.
Cet homme de 45 ans vit désormais dans la foule de tentes autour de l’hôpital des martyrs d’Al-Aqsa, à Deir el-Balah, plus au sud. C’est une femme petite, au visage marqué par l’inquiétude, qui paraît plus âgée que son âge.
Au centre de leur tente de fortune en plastique se trouve un petit feu où Umm Muhammed prépare du pain plat sur un four saj au feu de bois. Elle est entourée de quelques sacs à dos soigneusement rangés contenant les affaires que sa famille a réussi à apporter, ainsi que d’une pile de couvertures, désormais rangées pour faire de la place pour leur vie quotidienne.