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- D’autres parents que je connais surveillent les téléphones de leurs enfants, mais j’ai décidé de ne pas suivre mon fils adolescent.
- J’espère que cette marge de manœuvre l’aidera à devenir autonome et à mieux le préparer à l’université.
- Parfois, je m’inquiète de savoir où il se trouve, mais je lui fais confiance.
Aider les adolescents se transformer en adulte est la tâche la plus importante que nous ayons en tant que parents, et elle est pleine d’anxiété et d’inquiétude. Nous voulons que nos enfants soient heureux, en bonne santé et bien adaptés à mesure qu’ils grandissent. Même s’ils ont besoin de garde-fous et de conseils, quel degré d’indépendance devrions-nous leur accorder ?
C’est une question difficile, surtout lorsqu’il s’agit de suivre des adolescents. Qu’il s’agisse de Life360, Find My ou Google Maps, la technologie permet à des millions de parents, y compris certains de mes bons amis, d’accéder instantanément à la localisation de leurs enfants. De plus, de nombreux membres de la génération Z déclarent voir le bénéfice de la surveillance parentale.
Mais j’ai décidé de ne pas suivre mon lycée quand il est en déplacement, même lorsqu’il est au volant.
La liberté est bonne pour grandir
Je crois que le fait d’être adolescent consiste en partie à apprendre à se gérer soi-même. Le fait est que personne ne maîtrise cette compétence sans une certaine marge de manœuvre.
J’ai grandi presque à l’état sauvage dans les années 1980. J’errais librement avec des amis, je savais la routine du passe-partout, a risqué sa vie presque fréquemment et s’en est sorti relativement indemne. Les adolescents d’aujourd’hui n’ont pas ce genre de latitude. Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose, mais je veux que mon enfant ait un peu de cette liberté dont je jouis. Cela signifie que je n’ai pas besoin d’être dans ses affaires 24h/24 et 7j/7 via une application de suivi.
Cette autonomie aide mon fils à développer son autonomie. Il doit prendre ses propres décisions et je dois lui donner l’espace nécessaire pour les prendre. C’est à moi de gérer mes inquiétudes quant à sa localisation, pas à lui.
Je ne suis pas naïf : je sais que mon fils ne prendra pas toujours les bonnes décisions. Mais mon refus de garder un œil constant lui permet de commettre ses propres erreurs et de les surmonter par lui-même. Il a besoin de distance – au propre comme au figuré – pour ce faire.
Je veux être clair : la sécurité de mon fils est la chose la plus importante et je suis toujours là pour lui en cas d’urgence ou autre. Mais il peut décider si et quand tel sera le cas. Je suis un filet de sécurité, pas un hélicoptère SWAT. Il n’a pas besoin de son maman microgestion lui alors qu’il avance dans sa journée.
Ce sera une excellente préparation pour son départ à l’université.
Mon fils part à l’université à l’automne. Et même si de nouvelles recherches montrent que 36 % des parents d’étudiants suivent toujours leur Emplacementsje n’adopterai pas une position de « Grande Mère » lorsque mon nid sera vide.
De mon point de vue, l’université est le moment où les enfants peuvent apprendre, se dépasser et s’amuser de manière indépendante. Mon mari et moi avons fait tout notre possible pour préparer notre enfant à cette prochaine phase passionnante de la vie. Il en profitera de manière indépendante, sans que je vérifie qu’il est bien arrivé en classe ou que je fouine ses allées et venues le week-end..
Je suis nerveux, mais ça vaut le coup
Il est tout à fait naturel de s’inquiéter pour nos enfants. Je me demande ce que fait mon fils quand il n’est pas là, et je déteste l’idée qu’il doive se battre. Mais il le fera ; c’est la vie. C’est comme ça qu’on apprend.
Ce que mon fils gagne dépasse de loin ce que je perds en choisissant de ne pas utiliser d’application de suivi. Son développement personnel est bien plus important que mon angoisse.
Je dois apprendre à laisser partir cette angoisse. Je n’ai pas toujours besoin de savoir où il se trouve, mais il saura toujours où je suis s’il a besoin de moi.
Cela m’aide de faire confiance à mon enfant. Nous sommes proches, avons des conversations formidables et il sait qu’il peut s’adresser à moi et à son père s’il a besoin d’une caisse de résonance ou de conseils. Nous sommes convaincus qu’il fera de bons choix ; il ne nous a jamais donné de raison de ne pas lui faire confiance.
Imposer un contrôle ou une supervision de haute technologie pourrait très bien nuire à la confiance mutuelle que nous avons passé 17 ans à bâtir ensemble. Le fait que nous ayons décidé de ne pas le suivre indique à mon fils que nous avons confiance en lui, établissant ainsi une base solide pour notre relation maintenant et pour l’avenir.