Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
GUANGZHOU, Chine – Le président français Emmanuel Macron a consolidé vendredi son statut de rock star sur la scène mondiale alors qu’il visitait le campus d’une grande université du sud de la Chine accompagné d’applaudissements enthousiastes et de fans hurlants.
Dès que son cortège officiel est arrivé sur le terrain de l’Université Sun Yat-sen à Guangzhou, la foule immense d’étudiants en attente a éclaté en acclamations extatiques qui ont crescendo chaque fois qu’il leur a fait signe de la main.
Il y avait des évanouissements et des cris de « Je t’aime Macron » alors que le président français travaillait à la réception entouré d’officiers des services secrets chinois et français costauds.
Un haut responsable de l’entourage de Macron a fait remarquer le contraste avec son pays d’origine, puisqu’il ne pourrait même pas mettre les pieds sur le campus d’une université française ces jours-ci de peur d’être lynché par des manifestants en colère qui s’opposent à sa réforme des retraites.
Son tour de star et sa popularité spontanée contrastaient également avec les dirigeants communistes en bois de la Chine, dont aucun n’a même la moitié du charisme de Macron et qui ne sont généralement accueillis avec enthousiasme que lorsqu’ils figurent dans la description de poste de la foule.
Un autre membre de la délégation a noté l’aura de Macron de «La coolitude» – une fraîcheur un peu étudiée mais toujours authentique – était à son apogée dans ce décor.
Après avoir salué et salué tout le campus, Macron s’est installé dans le gymnase de l’université, où l’atmosphère était plus tamisée. Cela avait probablement quelque chose à voir avec les trois heures que les étudiants modèles avaient été faites par leurs professeurs pour attendre le président français.
Macron a dit quelques mots de salutation en cantonais puis a parlé pendant près d’une demi-heure avant de répondre aux questions – toutes posées en français – de trois étudiants triés sur le volet dont les questions avaient clairement été examinées pour éviter le moindre soupçon de politique ou de controverse.
Même avec une bouillie aussi mince pour travailler, Macron a quand même réussi à faire référence à la liberté d’expression et de pensée et à encourager l’étude de la langue française. Il a exhorté son auditoire à s’inquiéter de l’instabilité mondiale et de la place potentielle de la Chine dans le monde.
Il a ensuite été emmené sur le terrain d’une belle maison d’hôtes à la périphérie de la ville de Guangzhou, où le président chinois Xi Jinping l’attendait sur un petit pont traversant un étang à l’ombre de sapins, de pins et de palmiers parfaitement entretenus.
Alors qu’ils se saluaient, un couple de cygnes passa sereinement.
Près de trois heures plus tard, les deux dirigeants étaient toujours enfermés dans des discussions, qui touchaient apparemment à tout, de la guerre en Ukraine à l’unité européenne.
Xi a assuré à Macron que l’Ukraine n’était pas la guerre de la Chine et que la Chine ne fournissait pas d’armes à la Russie. Les deux hommes ont apparemment également eu une discussion franche sur l’île démocratique autogérée de Taiwan, que la Chine revendique comme son territoire et a menacé à plusieurs reprises d’envahir.
Le message de Xi était qu’il n’avait actuellement aucun plan d’attaque. Mais des accidents peuvent arriver.