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LLe saxophoniste alto né à Ondon Joshua Jaswon a été tellement consterné par le Brexit qu’il a déménagé à Berlin pour poursuivre ses ambitions en tant que chef d’orchestre et compositeur. En 2020, il a livré Mer silencieuseun commentaire émouvant sur l’écologie et le populisme, joué avec brio par son huit pièces paneuropéen et incorporant des poèmes d’un recueil du poète écossais Jackie Kay. Eaux polaires suit un parcours similaire, centré sur des thèmes océaniques, sa musique entremêlée de poèmes modernes assortis interprétés par la brillante chanteuse néerlandaise Anna Serierse.
C’est un album sincère, mais plus ludique que ne le suggèrent ses thèmes sérieux. La vision de Jaswon pour le jazz est inhabituelle ; il aime le swell et le drive d’un big band cuivré, mais aussi les moments plus intimes d’un petit groupe, où le guitariste Johannes Mann brille, tandis que l’octuor de Jaswon exécute sans faute ses arrangements parfois exigeants. La fête de la natation en hiver a deux versions ; l’un lumineux et bruyant, l’autre, mené par le sax soprano de Jaswon, méditatif. Seasick en quatre parties de Claire Cox est à la fois colérique et élégiaque, avec la voix de Serierse planant au-dessus du groupe, qui est d’humeur bruyante sur Bright Polar Waters. Le rêve de Jaswon d’une fusion entre la musique, la poésie et la science (stimulé par les trois anthologies « SciPo » d’Oxford) est en cours.