Customize this title in french Journal de campagne : Les coups de vent arrachent le sable de l’estran | Rivières

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

EMême selon les normes récentes, la force du vent est extraordinaire, soufflant de l’ouest et formant des vagues courtes et pointues sur l’estuaire de l’Afon Dyfi. J’ai failli ne pas y arriver, car sur le chemin, un sapin avait déposé une branche lourde et morte sur le chemin, beaucoup plus près de moi que je ne l’aurais souhaité, me donnant un nouveau sentiment de privilège face à l’eau. .

Les collines au-delà de la rivière semblent s’effacer et se fondre dans le ciel et le rivage dans un flou gris de pluie battante, et à travers les marais, les quelques groupes visibles de canards s’abritent dans les criques étroites définies par la marée descendante.

Les galets sont laissés perchés sur d’étroites bandes de substrat sur la plage.
‘[The gale tears] sable de l’estran pour former un nuage pâle et sifflant qui épouse le sol, laissant des cailloux perchés sur d’étroites piles de substrat. Photographie : John Gilbey

Plus loin le long de l’estuaire en direction d’Aberdyfi, un banc de sable s’incurve autour d’un méandre de la rivière. Légèrement abrité par une falaise abrupte et quelques arbres plus hauts, il offre un sanctuaire temporaire à un grand troupeau d’huîtriers. Ils se tiennent en formation serrée, face au vent, attendant stoïquement que les conditions s’améliorent. Je prends une photo, puis tente de compter le nombre de personnes dans le groupe – j’abandonne à 200. Les autres oiseaux semblent cependant rares, à l’exception du choucas solitaire qui semble inquiétant et désireux de partager ma collation.

L’embouchure du Dyfi est gardée par une barre de vagues tonitruantes et tumultueuses où un canal douteux se cache entre des rangées de dunes de sable. Par un heureux hasard, j’y arrive au moment où les nuages ​​à l’ouest commencent à se dissiper. La lumière traverse la plage, saturant la scène de couleurs et de contrastes, entraînant l’obscurité grise vers l’intérieur des terres comme une bande assombrissante de la couleur d’un bleu. Mais le vent persiste, arrachant le sable de l’estran pour former un nuage pâle et sifflant qui épouse le sol, laissant des cailloux perchés sur d’étroites piles de substrat.

Le soleil ne dure pas longtemps et un nouveau frisson traverse mon manteau alors que le ciel s’assombrit à nouveau. Je libère mes bottes des dunes de sable miniatures qui se dressent contre elles et cherche un abri et un sac de chips. Malgré la météo inégale, les journées commencent enfin, minute par minute précieuse, à s’allonger, et l’équilibre entre la morosité et la lumière du jour commence à tourner en notre faveur.



Source link -57