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Json petit système de dunes, élevé à quelques pieds au-dessus du niveau de la mer, longe la promenade le long de la plage de Whitburn, se rétrécissant dans le sable nu où les grandes marées de printemps viennent clapoter contre la digue. C’est un site faunique local précieux, le seul habitat de dunes de l’arrondissement. Des sentiers sinueux, tracés par des promeneurs, témoignent de sa popularité. Une section est temporairement enfermée dans une palissade en châtaignier, pour permettre aux raretés locales telles que le géranium sanguin à petites fleurs de se remettre d’une fréquentation excessive.
Il abrite des plantes emblématiques des communautés de dunes de sable. Il y a la fusée marine, dont les fleurs mauves pâles produisent des gousses gonflées qui agissent comme des canots de sauvetage, les transportant sur les courants côtiers jusqu’à ce qu’elles touchent terre sur une ligne de rivage. Arroche givrée, au feuillage gris-vert saupoudré de cristaux de sel excrétés, bords de dunes liés entre eux par des rhizomes rampants de carex de sable couleur caramel et tapissés de jolies fleurs de pois roses et blanches de restharrow. Couleurs pastel en sourdine s’harmonisant avec le sable, la mer et le ciel.
Mais il y a aussi une ambiance de fête ici, grâce à une communauté végétale internationale bien établie qui a débordé des jardins voisins. Les dunes, habitats instables aux climats hivernaux doux, sont sujettes à la colonisation par des plantes envahissantes des pays plus chauds. Des fleurs magenta de la taille d’une tasse de thé de roses japonaises inondent les dunes de parfum. Bizarrement, une parcelle de clématites à peau d’orange, du centre de la Chine, rampe sur le sable, à côté d’un étalage spectaculaire de valériane rouge, un habitant criard des côtes du sud de l’Europe qui apporte une saveur méditerranéenne à cette côte souvent froide.
Alors que le puriste botanique en moi se réjouit de trouver ici les pousses pointues mais autrement peu spectaculaires de la salicorne épineuse indigène, il y en a beaucoup qui apprécient l’étalage de fleurs de jardin sur la plage. Une dame qui promène ses caniches me fait signe de me montrer une masse grouillante d’abeilles, de papillons bruns des prés et de pimpres qui visitent la valériane rouge ; les insectes nectarifères et pollinisateurs les trouvent irrésistibles.
Alors que l’urgence climatique s’accélère, il est certain que les plantes envahissantes des climats plus chauds augmenteront parmi notre flore indigène, la déplaçant parfois. En fin de compte, la mer du Nord sera probablement l’arbitre final du sort de ce système de dunes localement unique ; l’élévation du niveau de la mer et une onde de marée pourraient l’emporter du jour au lendemain.