Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsje’est à peu près trois vingt ans et 10 depuis que Philip Larkin a écrit Church Going, sa belle méditation sur la redondance croissante des lieux de culte dans les villes britanniques. Debout parmi « des nattes, des sièges et de la pierre / Et des petits livres », dans une « maison sérieuse sur une terre sérieuse », le poète se demandait : « Quand les églises tomberont complètement hors d’usage / En quoi les transformerons-nous ?Depuis lors, plus de 1 700 églises ont été fermées pour le culte anglican, et la question de Larkin a eu diverses réponses. Environ un quart ont été démolis et à peu près le même nombre ont été convertis en logements. Certains sont devenus des bureaux à aire ouverte, des expériences de magasinage ou des pôles d’innovation ; à Bristol, une ancienne église géorgienne est devenue Circomedia, « un centre de renommée mondiale pour la formation au cirque contemporain » ; dans un autre, anciennement St Benedict’s à Manchester, il y a des murs d’escalade et des « expériences de bloc » qui emmènent les alpinistes débutants et expérimentés au-dessus des arches gothiques victoriennes et des vitraux.Larkin a envisagé « Une forme moins reconnaissable chaque semaine, / Un but plus obscur », et ses paroles sont reprises dans un nouveau rapport présenté au Synode général par les commissaires de l’église. Le rapport reconnaît que, bien que les populations locales se soucient de leurs églises, c’est souvent pour « leur rôle dans la création d’un sentiment de voisinage » plutôt que pour une fonction spirituelle définie.Lorsque Larkin a écrit son poème, en 1954, environ 3 millions de personnes se rendaient encore aux services anglicans chaque semaine. En 2021, ce nombre était d’environ 605 000. Pourtant, l’espoir, du moins parmi le clergé, est éternel. Les 368 églises destinées à être fermées au cours des trois prochaines années ne devraient pas être vendues mais louées, selon le rapport des commissaires, pour montrer la foi dans une future résurgence de la croyance. Les églises vides, soutenait un évêque, n’étaient pas l’expression d’une « hibernation », mais d’une « attente du Seigneur ».Plans pour NigelNigel Farage pourrait utiliser ses infâmes talents de militant pour mettre en lumière le sort des « non bancarisés ». Photographie : Frederick Florin/AFP/Getty ImagesEn lisant les problèmes de Nigel Farage avec ses arrangements bancaires – son compte principal semble avoir été fermé pour des raisons non précisées et sept autres banques ont apparemment refusé sa coutume – j’ai sondé les pensées de mon ami Faisel Rahman, qui dirige Fair Finance, un prêteur communautaire pionnier à Dalston, dans l’est de Londres.Faisel, qui a reçu un OBE pour son travail inspirant, fournit des services financiers aux «non bancarisés» depuis plus de 17 ans. Il semble, a-t-il suggéré, « que M. Farage ait rejoint les 1,2 million de personnes au Royaume-Uni » qui sont exclues des prêteurs de rue et que le Brexiter découvrira donc rapidement à quel point « c’est fondamental pour l’accès au logement, à l’emploi et avantages ».Les personnes auxquelles Fair Finance propose ses services sont toutes à faible revenu ; il s’agit d’anciens détenus, de réfugiés et de migrants récents. Farage a insisté sur le fait que l’absence de compte bancaire pourrait l’obliger à déménager à l’étranger à la recherche d’un crédit. Pourquoi ne pas plutôt, suggère Faisel, utiliser son nouveau statut et ses fameuses compétences de campagne pour souligner comment l’absence de compte bancaire sert toujours à « exacerber les difficultés économiques et l’exclusion ».Un imitateur de Dolly Parton interdit de manifestations sur Facebook devant les bureaux de la société mère Meta à King’s Cross, Londres. Photographie: Lucy North / PALa semaine dernière, j’ai été invité par un sosie de Dolly Parton devant les bureaux londoniens du propriétaire de Facebook et Instagram, Meta, à signer une pétition. La pétition exigeait que les plateformes de médias sociaux cessent de retirer les pages des actes d’hommage, ce qui contrevenait à ses règles de « non-usurpation d’identité ». La campagne m’a semblé une évidence dans la mesure où elle touchait à un principe éthique séculaire : je n’imagine jamais camper pour voir Proxy Music, les Faux Fighters, Oasish ou The Fillers, mais je défends jusqu’à la mort leur droit à des calembours épouvantables. Tim Adams dans un chroniqueur d’Observer
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