Customize this title in french La revue Stolen Valley – L’ouest de la route Thelma et Louise-Lite a raison de son côté | Film

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ÔSur le papier, ce film semble suivre les traces de Killers of Flower Moon de Martin Scorsese, comme un autre pas en avant dans la représentation hollywoodienne des Amérindiens. Réalisé par Jesse Edwards, il s’agit d’un western contemporain avec un scénario bien intentionné sur l’exploitation économique des peuples autochtones au fil des générations, dépossédés de leurs terres et de leurs ressources. Le problème, c’est que c’est aussi probablement le film le plus peu convaincant de l’année, avec des personnages si minces qu’on peut pratiquement voir à travers eux, des rebondissements invraisemblables et quelques moments de feuilleton intensément grinçants.

Briza Covarrubias incarne Lupe, une mécanicienne douce et sympathique d’une vingtaine d’années. Élevée par sa mère Navajo Adamina (Paula Miranda), Lupe a grandi en croyant que son père est mort avant sa naissance. Mais lorsque sa mère reçoit un diagnostic de tumeur au cerveau, une révélation choquante se produit : il est vivant et possède la terre sur laquelle Adamina a grandi. Il pourrait même être persuadé de verser 50 000 $ pour son traitement contre le cancer. Lupe part à sa recherche.

Mais attendez, avant même de monter dans le bus, Lupe entre dans une fusillade et part en fuite avec une cavalière de rodéo appelée Maddy (Allee Sutton Hethcoat, portant ce qui ressemble à un chapeau de cow-girl costumé acheté sur Amazon). Le scénario prévoit des éraflures à la manière de Thelma et Louise alors que les deux femmes évitent les méchants, ce qui donne lieu à des moments terriblement ridicules, comme la scène d’une plongée de motards où Lupe danse le flamenco avec une telle passion qu’elle fait fondre le cœur du bar plein de durs tatoués.

Le pays où sa mère a grandi est Alta Valley (un lieu fictif, tourné dans l’Utah), aujourd’hui envahi par les rednecks. La cinématographie ici, capturant la beauté féroce du paysage escarpé, élève la qualité d’un pouce ou deux au-dessus du bon marché. En fin de compte, c’est un film qui a tout pour plaire, mais pas la moindre crédibilité.

The Stolen Valley est disponible sur les plateformes numériques britanniques à partir du 15 avril.

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