Customize this title in french La santé mentale des membres des Premières Nations est actuellement menacée – voici des façons de prendre soin de vous et de votre communauté | Rachel Fishlock

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsUNAlors que l’Australie est plongée dans un débat houleux et divisé sur l’imminence du référendum, il est essentiel de reconnaître les défis uniques auxquels sont confrontés les Australiens des Premières Nations. Ce moment de l’histoire de notre pays exige de l’empathie, du respect et un engagement à assurer la santé mentale et le bien-être des communautés des Premières Nations.Les membres des Premières Nations ne devraient pas hésiter à tendre la main à leurs communautés… y compris les professionnels de la santé.Au cours de ce débat, nous devons nous demander ce que nous pouvons faire pour aider les aborigènes et les insulaires du détroit de Torres à traverser ces temps difficiles. Nous devons rappeler à tous les Australiens l’énorme impact que les débats irrespectueux, le racisme et les discours de haine ont sur la santé mentale des membres des Premières Nations.La capacité de se cacher derrière des profils de médias sociaux et de répandre des mensonges tout en diffamant un groupe racial entier qui ne représente que 3 % de la population australienne peut avoir des implications négatives à long terme pour les membres des Premières Nations.Ce débat public a mis au premier plan les divisions fondamentales au sein de la société australienne et le manque de conscience du cadre historique qui nous a mené jusqu’ici. Les membres des Premières Nations peuvent ressentir toute une gamme d’émotions difficiles et fortes qui peuvent avoir des répercussions importantes sur leur santé mentale et leur bien-être social et émotionnel. Pendant la campagne de ce référendum et dans la période qui suivra, il est impératif pour les Premières Nations australiennes de donner la priorité à leur santé mentale et à leur bien-être. Ceci peut être réalisé de plusieurs manières.Premièrement, rechercher du soutien et des liens est crucial. Les membres des Premières Nations ne devraient pas hésiter à tendre la main à leurs communautés et à leurs réseaux de soutien, y compris les professionnels de la santé. Partager des pensées et des sentiments avec des amis et des membres de la famille en qui vous avez confiance peut apporter un soulagement émotionnel et favoriser un sentiment d’unité. De plus, adopter des pratiques de guérison culturelle, des cérémonies et des traditions qui soutiennent les communautés des Premières Nations depuis des dizaines de milliers d’années, offrant réconfort, ancrage et sentiment d’appartenance pendant les périodes de turbulences.Deuxièmement, s’engager dans des activités de soins personnels, qui incluent la réflexion et la relaxation, comme la méditation, le yoga ou passer du temps dans la nature, peut aider à gérer le stress et à promouvoir la résilience émotionnelle. La participation active à des événements et à des discussions communautaires qui favorisent un dialogue constructif et la réconciliation est une autre façon de soutenir le bien-être mental. Faire partie de la solution peut donner un sentiment d’utilité et d’autonomisation.En tant qu’Australiens non autochtones… il est essentiel de lutter activement contre les discours de haine et la rhétorique discriminatoire.Troisièmement, soyez attentif à l’utilisation des médias en cette période difficile. La surexposition aux discours de discorde et de haine dans les médias et sur les plateformes de médias sociaux peut exacerber le stress et l’anxiété. Les individus devraient envisager de limiter leur temps pour maintenir leur bien-être mental.Il existe également des opportunités pour de nombreux Australiens pendant cette période référendaire. Utiliser ce moment comme une opportunité de s’engager dans un débat respectueux, d’être gentil et attentionné. Accroître la sensibilisation aux injustices historiques auxquelles sont confrontés les peuples des Premières Nations et prôner un discours respectueux peut conduire à une meilleure connaissance, compréhension, empathie et à combler les écarts.En tant qu’Australiens non autochtones, il est essentiel de reconnaître les conséquences profondes qu’un discours irrespectueux peut infliger aux peuples des Premières Nations. Lorsque vous engagez des discussions sur le référendum, reconnaissez que les questions abordées sont profondément personnelles et enracinées dans une histoire d’injustice. L’éducation sur les défis historiques et contemporains auxquels sont confrontés les Australiens des Premières Nations est cruciale. L’acquisition de connaissances peut conduire à des conversations plus éclairées et plus respectueuses, améliorant ainsi notre capacité à contribuer positivement au dialogue.En outre, il est essentiel de lutter activement contre les discours de haine et les discours discriminatoires. Le silence face à l’intolérance ne fait que perpétuer le mal, alors prenez position contre ces discours nuisibles et soyez un allié dans la promotion d’un dialogue respectueux. Lorsque vous participez à des discussions, écoutez activement les expériences et les préoccupations des Australiens des Premières Nations, en validant leurs sentiments et en reconnaissant leurs expériences vécues. De plus, il est essentiel de défendre et de soutenir des initiatives en matière de santé mentale adaptées aux besoins des communautés des Premières Nations, en reconnaissant que le débat référendaire peut avoir un impact durable sur le bien-être social et émotionnel.Le débat référendaire constitue un moment charnière dans l’histoire de l’Australie. Gayaa Dhuwi travaille avec Indigenous Allied Health Australia, l’Australian Indigenous Psychologist Association et le Black Dog Institute pour appeler à un référendum respectueux. En donnant la priorité à la santé mentale et en favorisant un dialogue respectueux, nous pouvons travailler collectivement à la guérison, à la réconciliation et à un avenir plus inclusif pour tous les Australiens. Rachel Fishlock est une fière descendante de la nation Yuin et est la PDG de Gayaa Dhuwi (Proud Spirit), l’organisme national de pointe pour le bien-être social et émotionnel des aborigènes et des insulaires du détroit de Torres, la santé mentale et la prévention du suicide. Un soutien et des conseils pour les aborigènes et les insulaires du détroit de Torres sont disponibles au 13YARN (13 92 76) ou aux services de conseil aborigènes 0410 539 905.

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