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Alors que la poussière retombe sur le budget, il est temps de réfléchir à la véritable tâche qui attend quiconque tente de gouverner la Grande-Bretagne.
Les réductions d’impôts annoncées sont financées par d’importantes réductions de dépenses à venir : les départements non protégés (comme les conseils municipaux et les prisons) seront confrontés à des réductions de 13 % (19 milliards de livres sterling) d’ici 2028-29. La plupart des gens pensent qu’il est impossible de les fournir, parce qu’ils ont vu l’état des services publics. Mais concentrons-nous sur les raisons pour lesquelles elles seraient également terribles pour notre démocratie et notre politique.
Deux projets de recherche de la Resolution Foundation menés au cours des deux dernières années comportaient de véritables avertissements à ce sujet. La première, impliquant des groupes de discussion dans tout le Yorkshire, de Leeds à Hull, a expliqué que les gens voyaient beaucoup de choses à aimer dans leurs différents endroits, mais qu’ils voyaient également l’impact de l’austérité chaque jour, dans les nids-de-poule omniprésents ou dans les centres-villes négligés. Ils savaient que leurs conseils avaient été confrontés à des coupes budgétaires, mais ils considéraient néanmoins cela comme le signe qu’on ne pouvait pas faire confiance aux dirigeants politiques pour maîtriser les fondamentaux, et encore moins pour améliorer les choses.
L’été dernier, nous avons passé deux week-ends à discuter avec des habitants du Grand Manchester et de Birmingham de la manière dont ces grandes villes pourraient avoir un avenir plus prospère. L’économie de l’emploi, des transports et du logement a été évoquée. Mais ce qui est également apparu, c’est que le fait de vivre avec des services publics en ruine a miné leur confiance dans la capacité de l’État à apporter des changements positifs. Ce n’est pas un petit problème. Le changement exige que les citoyens imaginent un avenir meilleur, afin qu’ils puissent accepter les perturbations qu’impliquera leur réalisation.
Cet avertissement est cohérent avec une recherche plus large portant sur 166 élections post-1980. Il révèle que les mesures d’austérité ont tendance à réduire la participation électorale, mais également à accroître les votes en faveur des partis non traditionnels.
La tâche à laquelle est confrontée la Grande-Bretagne aujourd’hui ? Il ne s’agit pas seulement de reconstruire les services publics, mais aussi de reconstruire la confiance que la politique peut faire une différence. Que demain peut être meilleur qu’aujourd’hui.