Customize this title in french Le ministre doit nommer ses sources dans l’enquête sur l’Afghanistan sous peine d’une peine de prison | Militaire

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Le ministre chargé des Anciens Combattants, Johnny Mercer, a eu 10 jours pour révéler la source des allégations selon lesquelles les troupes britanniques seraient impliquées dans des crimes de guerre en Afghanistan, sous peine d’une peine de prison.

Mercer a en effet admis le mois dernier devant l’enquête publique sur les allégations selon lesquelles il pensait que des membres du SAS s’étaient livrés à des dizaines d’homicides illégaux de civils afghans entre 2010 et 2013.

Mais il a refusé à plusieurs reprises de divulguer les noms de « plusieurs officiers » qui, selon lui, lui avaient parlé d’allégations de meurtre et de dissimulation alors qu’il était député d’arrière-ban.

Lord Justice Haddon-Cave, président de l’enquête sur l’Afghanistan, lui a déclaré le mois dernier que sa décision de « refuser de répondre à des questions légitimes… lors d’une enquête publique » était « décevante… surprenante… et totalement inacceptable ».

Le président de l’enquête a donné à Mercer jusqu’au 5 avril pour fournir une déclaration de témoin contenant les noms. Le 13 mars, selon l’enquête, le ministre a reçu un avis en vertu de l’article 21, l’obligeant à communiquer les noms, qui, selon l’enquête, seraient traités de manière confidentielle.

Haddon-Cave a déclaré dans l’ordonnance que les conséquences du non-respect sans excuse raisonnable seraient une infraction pénale passible d’une peine d’emprisonnement et/ou d’une amende. Il a également déclaré que la Haute Cour pourrait exécuter l’ordonnance par le biais d’une procédure pour outrage au tribunal, qui « pourrait entraîner une peine d’emprisonnement ».

Le juge à la retraite avait précédemment déclaré au ministre : « Vous devez décider de quel côté vous êtes réellement, M. Mercer. Est-ce que cela contribue pleinement à l’enquête… et à l’intérêt public et national de parvenir rapidement à la vérité sur ces allégations, pour le bien de tous, ou est-ce que cela fait partie de ce qui est, en fait… un mur de silence – et ce mur de silence est entraver l’enquête et l’accès à la vérité.

L’ancien officier de l’armée a déclaré à l’enquête qu’il avait progressivement pris conscience des allégations du SAS, en commençant par « une odeur et une pâleur » remontant à son dernier service en Afghanistan en 2010, suivi d’au moins deux avertissements spécifiques que ses collègues lui avaient donnés en 2017. après est devenu député.

Il a reconnu que, en tant que député en 2017, il avait reçu deux avertissements de la part d’amis militaires quant à la gravité des allégations. À l’époque, il faisait campagne pour mettre un terme à une vague d’allégations largement fausses faisant état d’abus perpétrés par des soldats britanniques en Irak.

L’un d’entre eux a été décrit comme un officier supérieur qui l’avait mis en garde contre l’ampleur de l’enquête officielle sur les exécutions sommaires du SAS. Le deuxième était un ancien camarade qui a déclaré qu’on lui avait demandé de porter une « arme larguée » qui serait utilisée pour fabriquer des preuves d’une attaque contre les soldats d’élite et justifier les meurtres de civils lors de raids nocturnes dans la province de Helmand.

L’enquête sur l’Afghanistan concernant les allégations selon lesquelles 80 Afghans auraient été sommairement tués par des membres de trois unités SAS britanniques s’est ouverte en octobre.

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