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P.La liberté est un choix politique – un choix dont les gouvernements conservateurs ont de nombreuses responsabilités. Depuis 2010, les administrations conservatrices ont choisi de laisser dans la pauvreté un pourcentage important de notre population, notamment les enfants de notre pays. L’analyse des données officielles par le Child Poverty Action Group la semaine dernière a montré qu’un tiers des enfants entre l’enfance et l’âge adulte – 4,3 millions d’enfants – vivaient dans une pauvreté relative, contre 3,6 millions en 2010-11. Même selon la mesure privilégiée par le gouvernement, la pauvreté absolue, la part des enfants en situation de pauvreté a augmenté en 2022-2023 à son taux le plus élevé depuis 30 ans.
Aucun principe économique ne dit qu’un tel degré de pauvreté devrait prévaloir dans l’un des pays les plus riches du monde. La raison de cette extraordinaire hausse de la pauvreté ? L’explication la plus évidente est le faible niveau des prestations et les restrictions d’accès à l’aide. Les niveaux de prestations ont chuté de 8,8 % en termes réels depuis 2012. La réduction des aides sociales produit davantage de pauvreté, pas moins. Il y a de l’argent. Mais pas spécifiquement pour les pauvres. Les ministres vantent des réductions d’impôts d’une valeur de 9 £ supplémentaires par semaine pour le travailleur moyen, tandis qu’environ 3,7 millions de personnes lutté pour se nourrir l’année dernière.
Depuis les années 1970, les politiques de protection sociale ont largement vu les pauvres supporter le fardeau de la crise économique. Le passage de Margaret Thatcher au modèle économique actuel et à une politique qui considérait l’aide sociale comme une partie du problème et non comme la solution, a produit une augmentation transformatrice des niveaux de pauvreté. La Fondation Joseph Rowntree affirme que depuis 1997, les difficultés ont connu une tendance à la baisse sous le régime travailliste – mais pas suffisamment pour réduire les niveaux de privation obstinément élevés en Grande-Bretagne – et à la hausse sous le régime conservateur.
La construction d’un nouveau consensus autour de l’aide sociale sera essentielle pour que la Grande-Bretagne puisse réduire ses niveaux d’inégalités néfastes, accroître le bien-être national et utiliser les ressources de main-d’œuvre inutilisées. La politique du parti conservateur détermine actuellement quels niveaux de prestations devraient atteindre ou empêcher. La stigmatisation des demandeurs comme des « escrocs » vivant aux frais des contribuables alimente la haine tout en refusant d’accepter une véritable lutte. La plaisanterie du secrétaire conservateur à l’aide sociale selon laquelle beaucoup de ceux qui sont au chômage à cause d’une maladie mentale pourraient « se convaincre » qu’ils sont malades pour échapper au travail était une véritable diffamation.
Les députés du comité restreint du travail et des retraites ont noté la semaine dernière que « s’il existe un objectif selon lequel les prestations devraient inciter au travail, il n’y a pas d’objectif explicite quant à la manière dont les prestations aideront les demandeurs à supporter les coûts de la vie quotidienne ». L’idée selon laquelle les difficultés jouent un rôle dans l’accès des pauvres au travail doit être mise en balance avec la démoralisation et le désespoir qu’elles provoquent. Si le gouvernement n’atteint pas ces objectifs, ont déclaré les députés, les ministres devraient alors indiquer comment ils entendent « les atteindre parallèlement à une revalorisation annuelle, par exemple en augmentant le niveau des prestations ». Les hommes politiques ont un contrat social avec les électeurs. Les tenir responsables de leur échec à réduire la pauvreté est une bonne idée.
Les travaillistes affirment qu’ils adopteront un nouveau règlement économique pour remplacer un accord défaillant. Pourtant, le parti conserverait la position controversée des conservateurs plafond des allocations pour deux enfants – qui a été un moteur de misère en Grande-Bretagne. Les résultats du sondage du Labour devraient encourager le parti à affirmer que le consensus politique doit changer plutôt que simplement être géré. Il ne suffit pas de poser la question rhétorique : « Comment les gens s’en sortent-ils ? » La réponse est qu’ils ne le peuvent pas. La Grande-Bretagne a besoin d’une politique suffisamment grande pour l’admettre – et faire quelque chose pour y remédier, au-delà d’enterrer le savoir dans une guerre des mots.