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Fin 2021, les membres du parti travailliste pansaient encore leurs blessures après une défaite aux élections partielles à Hartlepool, et Keir Starmer se trouvait en quelque sorte à la croisée des chemins dans sa direction. Il avait besoin de quelque chose de grand et d’audacieux qui enthousiasmerait son parti et attirerait l’attention des électeurs. Il était sous pression pour être à la hauteur de l’ambition du Green New Deal du président Biden. Les travaillistes ont donc pris un engagement important : dépenser 28 milliards de livres sterling par an dans le cadre d’un important programme d’investissement stratégique visant à faire évoluer l’économie vers son engagement de zéro émission nette d’ici 2050.
Comme le correspondant politique du Guardian Kiran Stacey raconte Michel Safi, le plan était toujours un peu vague. Le montant de 28 milliards de livres sterling n’a pas été attribué à des promesses de dépenses spécifiques, mais sa valeur symbolique a été saluée par les écologistes comme un premier pas sérieux vers le respect des engagements verts de la Grande-Bretagne. Mais il n’a pas fallu longtemps pour que les attaques commencent. Et lorsque Liz Truss, en tant que leader conservatrice, a fait monter en flèche le coût de l’emprunt, le débat au sein du parti travailliste sur la faisabilité de son plan de 28 milliards de livres sterling s’est intensifié. Hier, les travaillistes l’ont officiellement abandonné.
L’éditeur d’environnement du Guardian, Fiona Harvey, Cela explique pourquoi les travaillistes ont peut-être trouvé une solution politique à court terme en abandonnant leur engagement, mais s’accumulent de plus gros problèmes s’ils ne maintiennent pas l’accent sur les investissements verts au niveau requis par les engagements internationaux de la Grande-Bretagne.
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