Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsSculminant en tant que quelqu’un qui vient de sortir un poivron rouge de mon sac en cherchant mon journal, l’acceptation actuelle – et même la fraîcheur – d’un sac trop rempli est un soulagement. Le sac si plein que les objets débordent, comme un doner kebab, est devenu l’astuce style de cette saison, comme l’étaient autrefois le French tuck ou le col sauté.Chez Miu Miu, les sacs étaient ouverts et débordaient de chaussures, le plus visible étant des talons hauts serrés sur les bords. Miuccia Prada a expliqué sa pensée dans les notes du défilé : il s’agissait « d’embrasser des personnages uniques » et de « la joie de vivre ». Les gros sacs qui défilaient sur le podium de Bottega Veneta étaient accompagnés de journaux enroulés. Chez Balenciaga, les sacs semblaient un peu plus vides mais des chaînes de clés et de cartes dégoulinaient comme des guirlandes.Jane Birkin a été la pionnière de cette ambiance. La défunte actrice, qui a donné son nom au sac légendaire et le plus convoité de l’histoire récente, le Hermès Birkin, avait l’habitude de remplir le sien si plein que les poignées devenaient inutilisables, la laissant le porter comme un ballon de rugby attendant d’être touché. vers le bas. Sur TikTok, il existe même un mouvement qui apprend aux autres comment Birk-ifier votre sac. Le mannequin Irina Shayk a récemment fourni une inspiration en transportant son chien dans le sien.Jane Birkin avec son fourre-tout surdimensionné sur lequel est collé un drapeau tibétain en 2008. Photographie : Thomas Samson/Gamma-Rapho/Getty ImagesCes réceptacles gargantuesques et percutés constituent un changement bienvenu par rapport à la tendance récente des petits sacs, de ceux de la taille d’une carte de débit – pratiques uniquement pour ceux qui peuvent se permettre de flotter plutôt que de traîner pendant leurs journées – à la fin inévitablement stupide de la tendance : le « Sac à main microscopique » mesurant 0,03 pouce. Ils constituent une astuce de style adjacente au penchant pour les sacs à main visiblement finis mais néanmoins très raffinés.Dans le monde réel, les sacs rembourrés ne sont pas un détail de style mais un sous-produit d’une vie normale. La plupart des maisons sont petites et les besoins quotidiens sont importants : les sacs doivent être en partie stockés, en partie réfrigérateur et en partie coffre-fort. Alors, l’accent mis par la mode sur le big bag donne-t-il un certain éclat au quotidien ? »Je pense que nous sommes de nouveau en train d’embrasser la réalité et de nous déplacer de manière réaliste à travers le monde », déclare l’écrivaine de mode Liana Satenstein, qui a récemment exploré le sujet dans son bulletin d’information, lorsqu’elle est passée de « l’ère des gros sacs en travaillant dans un bureau » à celle de porter des sacs. une carte de débit lorsque vous devenez indépendant. « Il y a une légèreté physique et psychologique qui vient avec un petit sac », écrit-elle.Lorsque Lauren Friedman, qui a beaucoup écrit sur l’histoire féministe du sac à main, a vu pour la première fois cette tendance, elle a immédiatement pensé : « Oh, alors nous portons tous simplement davantage de nos bagages littéraux maintenant ? » » Dans son travail, elle fait le lien entre l’histoire du sac à main et celle des droits des femmes. « La métaphore entre les sacs à main et l’anatomie féminine est bien documentée ; donc pour moi, ce que dit cette tendance du grand sac fourre-tout, c’est que la culture sociétale dans son ensemble, qui dicte ces tendances, veut que les femmes auto-identifiées portent le poids de tout cela, au grand jour, d’un seul coup. Elle s’exprime depuis les États-Unis où, dit-elle, « nous apportons vraiment bien plus de tant de manières différentes », en soulignant le débat sur le droit à l’avortement.Balenciaga, collection été 2024. Photographie : IMAGE PRLe sac et sa relation avec la façon dont nous transportons les choses concernent directement la classe sociale et le genre. « Il existe une corrélation assez intéressante entre la façon dont le port d’objets se traduit par la façon dont la société vous perçoit. » Elle rappelle l’époque romaine : « Si vous ne transportiez rien, cela signifiait que vous étiez assez riche pour que d’autres personnes portent vos affaires à votre place. » Il est impossible de ne pas remarquer la filiation avec les petits sacs à main de ces derniers temps.Le sac rembourré rappelle l’esthétique de la « femme anglaise épuisée » qui se fraye un chemin à travers l’air du temps, un trope inspiré des années 2000 représenté par Bridget Jones dans son plus grand désarroi. Le fait qu’une version plus réaliste de la féminité soit célébrée est, en un sens, un gain. Friedman apprécie la façon dont il romantise « un personnage féminin qui n’est pas cette fille maniaque de rêve de lutin – ce n’est pas la fille parfaite, elle a des défauts, elle a un sac à main en désordre et pourrait être désorganisée. »ignorer la promotion de la newsletter précédenteInscrivez-vous pour Déclaration de modeDu style, avec du contenu : ce qui est vraiment tendance cette semaine, un tour d’horizon du meilleur journalisme de mode et vos dilemmes vestimentaires résolus », »newsletterId »: »fashion-statement », »successDescription »: »Le style, avec du contenu : ce qui est vraiment tendance cette semaine, un tour d’horizon du meilleur journalisme de mode et vos dilemmes de garde-robe résolus »} » config= » »renderingTarget » : »Web », »darkModeAvailable »:false »>Avis de confidentialité: Les newsletters peuvent contenir des informations sur des organismes de bienfaisance, des publicités en ligne et du contenu financé par des tiers. Pour plus d’informations, consultez notre Politique de confidentialité. Nous utilisons Google reCaptcha pour protéger notre site Web et la politique de confidentialité et les conditions d’utilisation de Google s’appliquent.après la promotion de la newsletterL’optique d’un sac trop rembourré porté par un homme serait, j’ose l’imaginer, très différente. Friedman, malgré toute son expertise, prouve la puissance de nos cerveaux profondément conditionnés : « Ce qui nous vient immédiatement à l’esprit, c’est un financier en route vers la salle de sport ou un artiste transportant ses marchandises au studio. »Comme pour toute chose, le sac rembourré est composé de plusieurs choses. C’est une astuce de style simple si vous souhaitez signaler que vous connaissez votre Bottega Veneta de votre Brunello Cucinelli. C’est encore un autre exemple de haute couture glorifiant et glamourisant le quotidien. Et c’est la réalité vécue par beaucoup de gens.Même si Friedman aime quitter la maison sans trop de bagages, « c’est libérateur », dit-elle. « Vous n’êtes littéralement pas en selle. » Satenstein, quant à elle, est « de retour dans le train des gros sacs » et dit que monter dans le sien, c’est « comme sortir un lapin d’un chapeau magique ; l’abîme des choses ; un trou noir de des choses». Comme elle le concède : « En fin de compte, le sac XXL est notre vérité et ce dont les femmes ont besoin pour fonctionner quotidiennement dans ce monde. »Pour lire la version complète de cette newsletter – avec les sujets tendances de cette semaine dans The Measure et vos dilemmes vestimentaires résolus – abonnez-vous pour recevoir Fashion Statement dans votre boîte de réception tous les jeudis.
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