Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words25. Noël noir (1974)Ce classique du slasher – la source de cette ligne d’horreur en attente : « L’appel vient de l’intérieur de la maison ! » – montre une victime poignardée avec un ornement en verre alors que des chanteurs de Noël étouffent ses cris mourants. Le réalisateur, Bob Clark, a également réalisé le doux et folklorique A Christmas Story (1983), qui représente le revers de la même pièce de chocolat.24. Souviens-toi de la nuit (1939)Alouette road-trip… Barbara Stanwyck et Fred MacMurray dans Remember the Night. Photographie : Pictorial Press/AlayPreston Sturges a scénarisé cette alouette sur la route, dans laquelle Barbara Stanwyck joue le rôle d’une voleuse à l’étalage sauvée de la perspective de passer Noël dans le tintement par un procureur sympathique (Fred MacMurray), qui paie sa caution puis l’accueille.La comédie mélancolique de 39 minutes d’Alice Rohrwacher sur l’arrivée d’un énorme pudding dans un pensionnat pour orphelins italien est un véritable remontant. Il présente des anges qui s’ennuient, une jolie nonne moustachue et une partition dynamique de Cleaning Women, dont les instruments sont fabriqués à partir d’articles ménagers.22. Problème féminin (1974)Le festival déchaîné de John Waters démarre avec une adolescente indisciplinée, Dawn Davenport (Divine), qui passe par la poste après n’avoir pas reçu les talons cha-cha qu’elle voulait de ses parents. Piétinant les cadeaux et faisant s’écraser l’arbre sur sa mère, elle crie : « Allez vous faire foutre tous les deux, vous autres gens horribles ! … Je déteste Noël !Les rancunes de la saison… Mathieu Amalric et Catherine Deneuve dans Un Conte de Noël. Photographie : Ifc Films/AllstarLe clan Vuillard échange injures et rancunes lors d’un rendez-vous saisonnier qui est glorieux pour nous, sinon pour eux. Les hostilités entre une mère atteinte d’un cancer (Catherine Deneuve) et son fils rancunier et alcoolique (Mathieu Amalric) sont un vilain délice : « Tu ne m’aimes toujours pas ? « J’ai jamais fait. »20. Noël dans le Connecticut (1945)Barbara Stanwyck à nouveau, cette fois en tant qu’écrivain culinaire de Manhattan qui se fait passer pour une mère populaire du Connecticut, puis se démène pour faire de cette façade une réalité lorsque son éditeur (Sydney Greenstreet) lui demande d’organiser un dîner de Noël pour un marine héroïque (Dennis Morgan). ). Des complications subversives s’ensuivent.Il y a des larmes avant de se coucher dans le court métrage déchirant de Lynne Ramsay sur deux enfants du Glasgow des années 1970 se retrouvant face à face avec leurs demi-frères et sœurs secrets lors d’une fête festive et bruyante. Le Père Noël et Slade figurent en bonne place dans l’un des Noëls les plus tristes jamais filmés.18. Vacances de Noël (1944)Malheurs romantiques… Gene Kelly et Deanna Durbin en vacances de Noël. Photographie : Universel/Kobal/ShutterstockCoincé à la Nouvelle-Orléans et largué par sa fiancée la veille de Noël, un lieutenant malchanceux (Dean Harens) rencontre une chanteuse flamboyante (Deanna Durbin) avec sa propre histoire de malheur romantique : son amoureux (un Gene Kelly inoubliable et effrayant) est en prison pour meurtre. . C’est du moins ce qu’elle pense.17. Christmas Evil/Tu ferais mieux de faire attention (1980)Partant du même principe que J’ai vu maman embrasser le Père Noël, ce cadeau de Noël teinté d’horreur imagine ce qui s’est passé lorsque l’enfant de cette chanson a grandi. Employé par l’usine de jouets Jolly Dream, Harry (joué par le père de la musicienne Fiona Apple, Brandon Maggart) s’habille en Père Noël, tient une liste de vilains cadeaux à l’hôpital local – et massacre ses collègues à la messe de minuit. La chorégraphie de danse est réalisée par le frère de Meryl Streep et il y a une promenade en traîneau qui se termine pour faire s’évanouir Rudolph.16. Rois et hommes désespérés (1981)Alexis Kanner, le scénariste-réalisateur-star de ce thriller à suspense sur des terroristes détournant une émission de radio canadienne la veille de Noël, a poursuivi les réalisateurs de Die Hard, le qualifiant de « xéroxification cinématographique en gros » de son film. Il a perdu, et pour cause : les films, tous deux superbes, n’ont rien de commun sauf les otages, les explosifs et Noël.Noël ne se passe pas comme prévu… Bruce Willis dans Die Hard. Photographie : 20th Century Fox/AllstarBruce Willis dégage une forte ambiance de père de Noël post-prandial dans le rôle de John McClane, qui veut vraiment y aller doucement, mais se retrouve impliqué dans la lutte contre un groupe terroriste (dirigé par Alan Rickman, qui fait claquer les lèvres) qui a détourné l’immeuble de bureaux de Los Angeles où sa femme (Bonnie Bedelia) fait la fête. Son nom? Holly, bien sûr.La comédie romantique épistolaire d’Ernst Lubitsch concerne deux collègues marchands de cadeaux de Budapest qui se chamaillent, interprétés par James Stewart et Margaret Sullavan, qui mènent une correspondance heureuse, inconscients de la véritable identité de chacun. Il a été remanié en 1998, avec la moitié du charme de You’ve Got Mail.Le cauchemar de Noël orwellien de Terry Gilliam commence avec le tintement des cloches du traîneau alors qu’un enfant demande à sa mère comment le Père Noël peut entrer sans cheminée. Imaginez une équipe Swat qui fait irruption à travers le plafond pour arracher son père, laissant sa mère tenir un dossier pour lui alors qu’elle se tient en train de pleurnicher dans la pièce de devant récemment démolie. Existe-t-il un message saisonnier plus significatif que : « Conservez le reçu » ?Pas tous en fête… Fanny et Alexander. Photographie : ScreenProd/Photononstop/AlayEn écrivant cette saga familiale du début des années 1900, riche et dense comme un gâteau aux fruits imbibé d’alcool, Ingmar Bergman s’est également inspiré de Casse-Noisette et Dickens d’ETA Hoffmann, et elle a été colorée par son soulagement qu’une longue affaire d’évasion fiscale contre lui s’était finalement effondrée. « Je me suis retrouvé libéré d’un coup », écrit-il. Les célébrations exubérantes de Noël sont bientôt compensées par les fantômes et le chagrin.11. Le partenaire silencieux (1978)En voleur de banque vicieux déguisé en Père Noël, Christopher Plummer montre ses griffes. Les téléspectateurs seront probablement découragés par The Sound of Music, les aquariums (tels que présentés dans la scène la plus méchante) et peut-être Noël lui-même à vie. C’est un petit prix à payer pour savourer l’un des thrillers les plus intelligents depuis l’apogée d’Hitchcock. Le scénario a été écrit par Curtis Hanson, qui est revenu sur le crime de Noël dans LA Confidential.10. Les morts (1987)Se déroulant le jour de la fête de l’Épiphanie, le 6 janvier 1904 (le lendemain de la Douzième Nuit), le majestueux chant du cygne de John Huston, adapté de la nouvelle parfaite de James Joyce, ne se déroule pas pendant Noël lui-même. Mais l’atmosphère des dernières réjouissances, sans parler de la neige « qui tombe faiblement à travers l’univers et qui tombe faiblement », comme le dit Joyce, justifie largement sa place dans tout décompte des merveilles cinématographiques de Noël.9. Elfe (2003)Comédie effervescente… Amy Sedaris, James Caan et Will Ferrell dans Elf. Photographie : Nouvelle ligne/Sportsphoto/AllstarDe nombreux films de Noël intègrent une forte dose de tragique. Pas Elfe. Cette comédie effervescente met en vedette Will Ferrell dans le rôle le plus exubérant de Buddy, l’humain élevé comme un elfe, qui quitte la grotte du Père Noël pour la grande ville pour retrouver son père sans méfiance (un James Caan jamais plus bourru). Il faudrait être un ninny muggins à tête cotonneuse pour résister.La fable conflictuelle de Frank Capra, dans laquelle George Bailey (James Stewart), un bon œuf suicidaire, montre à quel point le monde aurait été mauvais sans lui, n’a jamais été conçue pour être un régal festif. Sa date de sortie initiale, en janvier, a été avancée car un autre film prévu au calendrier de la société de cinéma RKO n’était pas prêt. Le Telegraph a prédit que le film de Capra « disparaîtrait comme un sapin de Noël recouvert de bonbons et de crackers ». Au lieu de cela, il s’est enraciné après avoir perdu le droit d’auteur en 1974, permettant aux chaînes de télévision de le diffuser gratuitement.Perdre son chiffon… Geena Davis dans The Long Kiss Goodnight. Photographie : New Line Cinema/Sportsphoto/AllstarShane Black a un penchant pour placer ses films à Noël (voir aussi : Kiss Kiss Bang Bang et Lethal Weapon). Le film d’action le plus palpitant des années 1990, scénarisé par Black, possède des références saisonnières impeccables : du patinage sur glace, un défilé festif et une ingénieuse cascade…
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