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Concernant l’article de Zoe Williams (Le scandale de la redevance télé : pourquoi 1 000 personnes par semaine sont-elles criminalisées ?, 29 février), je continue de payer ma redevance même si je ne regarde pas la télévision en direct. Je regarde des vidéos de toutes sortes sur YouTube et des livestreams plusieurs fois par semaine sur Twitch, et j’écoute de la musique, souvent à partir de stations de radio Internet avec abonnements. Je refuse de m’exposer au risque d’être poursuivi pour non-paiement d’un impôt déguisé qui devrait soit être intégré à la fiscalité ordinaire, soit être transformé en abonnement facultatif. Poursuivre quelqu’un pour ne pas avoir payé 159 £ alors que ceux au sommet dispersent des millions dans des paradis fiscaux offshore est le comble de l’injustice.
Paula Thomas
Bar Hill, Cambridgeshire
Dans les années 1950, il n’y avait qu’une seule chose que l’on pouvait faire avec un téléviseur. Il y avait donc un argument valable pour tous ceux qui en possédaient un qui payaient pour notre seul diffuseur via une licence. Mais nous ne sommes plus dans les années 1950. Nous disposons désormais de beaucoup plus de sources de matériel télévisuel, et toutes ne proviennent pas de diffuseurs. Il n’est donc plus logique qu’une chaîne soit payée par tous, qu’ils regardent ou non ses programmes. On ne sait même plus vraiment ce qu’est un radiodiffuseur de « service public », et je suis presque sûr qu’on n’a jamais demandé au public s’il en voulait un.
Je ne vois rien de ce que fait la BBC aujourd’hui qui ne soit pas fait au moins aussi bien, sinon mieux, par d’autres. Et il existe de nombreuses méthodes de paiement alternatives qui seraient plus équitables que si la BBC continuait à recevoir plus de 3 milliards de livres sterling chaque année, quelles que soient ses activités.
Roderick Stewart
Liverpool
L’article de Zoe Williams était choquant : les poursuites judiciaires semblent être une sorte de machine à gagner de l’argent pour la BBC. Il convient toutefois de souligner que la procédure de justice unique (SJP) n’est utilisée que pour ceux qui plaident coupables ou ceux qui ne répondent pas à la mise en demeure initiale dans un délai de 21 jours. Si la personne recevant l’avis plaide non coupable, son dossier sera transféré hors du processus SJP et inscrit pour une audience en personne avec un procureur et, si l’accusé le souhaite, un avocat de la défense. On suppose que les personnes poursuivies en sont informées.
Dr Dolf A Mogendorff
Leeds