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Pour l’éditeur: J’ai trouvé troublante la couverture médiatique des ours « envahissant » le Pine Mountain Club. Les propositions des résidents ne tiennent pas compte des multiples mesures qui peuvent être prises pour éviter que les ours envahissent leur maison.
En fait, j’ai interviewé Steve Searles, le « murmureur d’ours », en octobre dernier pour une critique de livre du Times. Searles a fait ses preuves en enseignant aux résidents et aux touristes comment interagir avec les ours noirs.
Des ressources sont à la disposition des résidents du Pine Mountain Club, mais ils semblent ignorer que, sans changer leur propre comportement, les ours continueront d’être un « problème ».
Vous construisez des maisons dans des villes de montagne où les ours sont une réalité, et vous devez apprendre à faire face à ces conséquences. Et ces conséquences ne sont pas l’éradication des ours, mais l’obligation pour les propriétaires d’adapter et de modifier leurs propres habitudes.
Lorraine Berry, Eugène, Ore.
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Pour l’éditeur: Le conflit entre les humains et les ours dans les villes de montagne est le résultat naturel de notre orgueil à croire que la nature et tous les êtres non humains de la planète existent pour (et selon) notre plaisir.
Nous pensons que nous avons le droit de contrôler leur nombre alors même que la population humaine continue d’exploser et que nous colonisons des endroits autrefois sauvages.
Nourrir ces ours est une indulgence qui les met, eux et nous, en danger. Nous devrions rechercher des solutions qui nous permettent à tous d’avoir une place au soleil.
Deborah Elliott, Pacific Palisades
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Pour l’éditeur: Jamais dans l’histoire de l’humanité une tribu n’a autorisé les ours à entrer dans leur camp et à manger leur nourriture – pas jusqu’à l’époque moderne.
Les ours ont appris que les humains ne sont pas dangereux. S’ils sont assez intelligents pour apprendre cela, ils sont assez intelligents pour le désapprendre.
Peut-être que tirer des balles de pouf donnerait à un ours quelque chose dont il se souviendrait sans causer de mal, et l’ours rapporterait une nouvelle peur dans les bois pour la partager avec ses copains. Bientôt, nous verrions une relation nouvelle/ancienne, plus naturelle, se développer entre les humains et les ours.
Steven Foster, Palmiers
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Pour l’éditeur: Cet article dresse un tableau de la destruction des oursins et de la terreur dans la ville de vacances de Pine Mountain Club où, semble-t-il, des appels à « l’extermination » des ours noirs seraient lancés.
En réalité, les humains sont plus susceptibles d’être tués par une piqûre d’abeille ou par la foudre que par un ours.
Les ours contribuent par ailleurs à maintenir un écosystème sain en contrôlant d’autres populations animales et en fertilisant les plantes avec leurs excréments. Ainsi, lorsque vous faites un reportage sur ces « effrayants » « prédateurs sauvages », n’oubliez pas la véritable menace qui pèse sur un environnement sûr : nous.
Merete Rietveld, Los Angeles