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© Reuter.
Investing.com– Les prix du pétrole ont chuté dans les échanges asiatiques lundi alors que les marchés restaient incertains quant à de nouvelles réductions de production de la part de l’OPEP+ après le retard d’une réunion cette semaine, tandis que l’anticipation d’une série de chiffres économiques clés a également tenu les traders sur le qui-vive.
Les prix du brut ont chuté pour une cinquième semaine consécutive alors que les espoirs de nouvelles réductions de l’offre par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs alliés (OPEP+) ont été largement compensés par un retard du 26 novembre au 30 novembre, d’autant plus que les rapports suggéraient le retard. a été causée par des désaccords sur les réductions de production prévues.
à 21h02 HE (02h02 GMT). Les deux contrats ont clôturé en légère baisse la semaine dernière.
Les réductions de production de l’OPEP+ occupent le devant de la scène
L’Arabie saoudite et la Russie, deux des principaux producteurs de l’OPEP+, devraient largement prolonger ou approfondir leurs réductions d’offre en cours. Les deux pays ont été à la tête de l’OPEP+ dans la réduction de l’offre cette année, dans un contexte de craintes croissantes que les taux d’intérêt élevés et la détérioration des conditions économiques ne nuisent à la demande mondiale de pétrole.
Mais la production dans d’autres membres de l’OPEP+ a augmenté ces derniers mois. Des rapports de Reuters ont également montré que certains pays africains prévoyaient d’augmenter leur production lors de la prochaine réunion, ce qui allait à l’encontre des plans du leader de facto de l’OPEP+, l’Arabie saoudite.
L’augmentation de la production de certains membres de l’OPEP+, associée à la production américaine record et à l’augmentation des stocks chinois, a fait que les marchés pétroliers ne semblent pas aussi tendus qu’on le pensait initialement cette année. Cette tendance entraînera probablement de nouvelles réductions de production en Arabie Saoudite et en Russie, ce qui, selon les analystes, entraînera un resserrement de l’offre jusqu’en 2024.
Inflation et chiffres de l’activité économique disponibles
Les marchés pétroliers se sont également montrés prudents avant une série de chiffres économiques majeurs cette semaine, à commencer par jeudi. Le bloc a sombré dans une récession technique au troisième trimestre, renforçant les inquiétudes concernant le ralentissement de la demande de brut.
Les données chinoises sont attendues jeudi et devraient offrir davantage d’indices sur l’activité commerciale du plus grand importateur mondial de pétrole. L’activité économique du pays est restée largement atone ces derniers mois, ce qui, associé à la hausse des stocks de pétrole, pourrait entraîner un ralentissement de la demande pétrolière chinoise.
Une deuxième lecture sur les États-Unis pour le troisième trimestre est également prévue cette semaine, tout comme une lecture sur l’indicateur d’inflation préféré de la Réserve fédérale. Les deux chiffres devraient montrer une résilience continue de l’économie américaine.
Mais la demande pétrolière américaine devrait ralentir dans les mois à venir, car la saison hivernale restreint les voyages.