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Liz Truss dira que le récent voyage d’Emmanuel Macron en Chine était un « signe de faiblesse », après que le président français a demandé à Pékin de l’aider à mettre fin à la guerre en Ukraine.
Dans la dernière d’une série d’interventions de politique étrangère visant à encourager Rishi Sunak à adopter une approche plus dure envers la Chine, Truss dira dans un discours que toute tentative des dirigeants occidentaux d’apaiser Xi Jinping serait une erreur.
Elle devrait exhorter le gouvernement britannique à exercer une plus grande pression économique sur Pékin pendant que les Chinois « renforcent leurs armements » et « menacent l’île libre et démocratique » de Taiwan.
Dans des commentaires à peine voilés visant Macron, qui est récemment revenu de Pékin après avoir demandé à Xi de ramener la Russie « à la raison » sur la guerre en Ukraine, Truss dira dans un discours mercredi que le monde libre doit « prendre conscience de la menace de régimes autoritaires ».
Xi et Vladimir Poutine sont des « alliés contre le capitalisme occidental », dira Truss au groupe de réflexion Heritage Foundation à Washington. « C’est pourquoi les dirigeants occidentaux rendant visite au président Xi pour lui demander son soutien pour mettre fin à la guerre sont une erreur et c’est un signe de faiblesse.
«Au lieu de cela, nos énergies devraient être consacrées à prendre davantage de mesures pour soutenir Taiwan. Nous devons nous assurer que Taiwan est capable de se défendre. Nous devons exercer une pression économique sur la Chine avant qu’il ne soit trop tard.
L’attaque contre Macron est un pas en avant par rapport à ses commentaires lors de la course à la direction conservatrice de l’été dernier, lorsqu’elle a refusé de dire si Macron était un ami ou un ennemi.
Truss présentera des suggestions pour que le Royaume-Uni suive l’approche des États-Unis et des Pays-Bas en adoptant des restrictions technologiques sur la Chine, et répétera l’impulsion qu’elle a faite au Japon il y a deux mois pour la création d’une « OTAN économique ».
La Chine, envers laquelle Truss a adopté une position plus belliciste que Sunak, est l’un des rares sujets où les députés conservateurs la traitent avec une certaine révérence. Malgré ses interventions, Sunak a résisté à reclasser la Chine comme une « menace » au lieu d’un « défi » dans une mise à jour de la stratégie de sécurité nationale du Royaume-Uni en mars.
Au cours de son discours de mercredi, Truss tentera de lier une stratégie pour défier le « capitalisme d’État » chinois à son propre programme économique très critiqué.
Malgré le tristement célèbre mini-budget qui a plongé les marchés financiers mondiaux dans une spirale, la livre s’est effondrée et a suscité les critiques d’institutions économiques renommées, Truss avertira que l’approche de l’individualisme anglo-américain – des impôts bas, un petit État et une entreprise privée – est en train d’être « étranglé dans la stagnation ».
Elle fustigera la hausse des dépenses de l’État en proportion du revenu national de 36 % à 47 % au Royaume-Uni et de 29 % à 35 % aux États-Unis depuis le tournant du millénaire.
Downing Street a refusé mardi de dire si Sunak soutenait un commentaire controversé qui aurait été fait par Macron aux journalistes dans l’avion de retour après la visite de trois jours en Chine.
Macron aurait dit à propos des craintes d’un conflit sur l’avenir de Taïwan : « Le pire des choses serait de penser que nous, Européens, devons être suiveurs sur ce sujet et nous adapter à un rythme américain et à une surréaction chinoise ».
Un porte-parole de Sunak a déclaré que les ministres « veulent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour réduire les tensions » entre la Chine et Taïwan, et a ajouté : « Nous avons un intérêt clair dans la paix et la stabilité dans le détroit de Taïwan ».