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L’OTAN n’est plus en état de mort cérébrale. Emmanuel Macron, qui a écrit cette boutade en 2019, peut en remercier l’invasion de l’Ukraine par Vladimir Poutine. Mais maintenant qu’elle est revenue à sa mission initiale de contenir la Russie, l’Alliance peut-elle suivre le rythme ?
Kiev l’a dit clairement : si l’organisation fournit les armes, les soldats ukrainiens combattront. Mais l’Ukraine n’a pas les munitions et la supériorité aérienne nécessaires pour une mise à mort rapide dans une contre-offensive qui se heurte à une plus grande main-d’œuvre russe et à des tranchées solides.
Pour les Ukrainiens, c’est la vie ou la mort. Mais pour l’OTAN, y a-t-il la même urgence d’effort de guerre ?
Nous parlons d’une organisation fondée quatre ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, lorsqu’il est rapidement devenu clair que les alliés victorieux n’étaient plus des alliés mais des rivaux dotés d’armes nucléaires.
Des pays comme la France et l’Allemagne ont augmenté leurs dépenses de défense par des multiples sans précédent depuis la guerre froide… mais les Européens et les Américains sont-ils prêts pour le long terme, un effort de guerre à l’échelle industrielle sur des années et une dissuasion qui, en cas de crise, pourrait signifier mettre les soldats en danger ?
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