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HAprès avoir passé deux décennies à faire des albums de plus en plus mauvais, Metallica est finalement revenu à la perfection avec les albums de 2008. Mort magnétique et 2016 Câblé… pour s’autodétruire, qui ont tous deux rappelé l’inventivité et l’énergie pure de leur matériel des années 1980. Dans leur sillage, 72 saisons, le 11e album des Californiens, ressemble à un pas en arrière. Alors que les 12 chansons ici sont indiscutablement aussi lourdes que tout ce qu’ils ont jamais enregistré, sur 77 longues minutes, le tempo est bien trop souvent réglé sur « chugging », sauf sur quelques numéros plus vivifiants et plus nuancés, Inamorata. Imaginez les années 1991 Album noir – le disque qui les a catapultés dans la cour des grands – avec à peine les crochets ou les mélodies et vous ne seriez pas trop loin du compte.
Au moins, il y a une plus grande aventure lyrique. James Hetfield se plonge dans son enfance troublée (comme il l’a fait pour la première fois dans Dyers Eve en 1988) pour certaines de ses paroles les plus personnelles à ce jour, notamment sur le sombre Chasing Light : ”. (Toutes les chansons ne sont pas aussi révélatrices – les paroles furieuses de Lux Æterna font plutôt un clin d’œil aux premières inspirations de Diamond Head ainsi qu’à leur propre Motorbreath.)
Pour toute la mise à nu de Hetfield, cependant, dans son ensemble 72 saisons semble marquer la fin de leur renaissance en fin de carrière et est finalement bien plus solide que spectaculaire.