Customize this title in french « Ne rien savoir de la silhouette est une partie importante de la photo » : la meilleure photo prise au téléphone par Gerry McCulloch | La photographie

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jeans le Turbine Hall de la Tate Modern de Londres, Gerry McCulloch et sa femme Kaori achetaient des billets pour une exposition de Yayoi Kusama. « Il m’est arrivé de me retourner et d’apercevoir ce personnage non identifiable », dit-il. « Parmi des milliers de visiteurs du monde entier, cela m’a chatouillé que cette humble histoire se déroule silencieusement dans un coin inaperçu. »

En plus d’être photographe, McCulloch est un coach en narration visuelle et, dans sa propre pratique créative, son mantra est « identifier, clarifier, simplifier, amplifier ». Cette image, dit-il, démontre chacune de ces composantes. La qualité opaque de la fenêtre permet d’exclure les éléments superflus et attire le spectateur dans ce qu’il appelle « le mystère du moment ».

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McCulloch dit qu’optimiser ses photos ne consiste jamais à les rendre « plus intéressantes en appliquant des filtres ou en trop cuisant la recette. Il s’agit plutôt de rester fidèle à la sincérité du sentiment que j’ai ressenti en le prenant. Sans transmettre cette honnêteté, comment les autres pourraient-ils être émus par ma photo ? »

La personne derrière la vitre reste anonyme, même pour McCulloch. « Ne rien savoir du personnage est une partie importante de la photo », dit-il. «Ils restent une histoire tacite dans le tissu de notre environnement quotidien.»

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