Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsAvant que le premier ministre Anthony Albanese ne révèle cette semaine le changement constitutionnel proposé pour consacrer une voix autochtone, quelque chose de remarquable s’est produit au sein de la Coalition.Après avoir d’abord signalé qu’elle s’opposerait au projet de loi sur les mécanismes référendaires, aux règles de circulation pour ce référendum et les futurs référendums, la Coalition en a surpris beaucoup – y compris certains dans ses propres rangs – en annulant cet appel après un débat interne sain.La Coalition a remporté une petite concession en restaurant les brochures sur les cas du oui et du non, mais avait essayé de pousser plus durement les travaillistes pour les campagnes officielles du oui et du non, et pour qu’elles soient financées par l’État.Le gouvernement a dit non et a commencé à négocier avec le crossbench, risquant la possibilité d’amendements sur l’inscription, la divulgation des dons et la vérification des faits des brochures.Lundi, le cabinet fantôme a décidé de mettre en banque ses petites victoires (y compris une garantie que la campagne civique sera neutre) et de se ranger du côté du gouvernement pour éviter la perception qu’il faisait obstacle au référendum. Le chef libéral, Peter Dutton, et la ministre d’État spéciale de l’ombre, Jane Hume, ont demandé l’approbation de la salle des fêtes mardi.Bien que les dirigeants penchent en faveur d’aider les travaillistes à rédiger les règles, la discussion a été finement équilibrée avec autant, sinon plus, de voix contre, principalement des ressortissants (Keith Pitt, Ross Cadell) et des libéraux conservateurs, dont Alex Antic, Henry Pike, Slade Brockman et Terry Young.Aucun vote n’a été pris, donc Dutton et Hume ont pris en compte les points de vue, mais la Coalition a procédé à l’adoption du projet de loi.Le fait qu’il y ait eu un recul de toute façon donne un aperçu des difficultés auxquelles Dutton serait confronté même s’il était enclin à essayer d’aider les travaillistes sur le cas du oui au référendum.Le parti travailliste est convaincu qu’il ne le fera pas. Vendredi, la ministre des Australiens autochtones, Linda Burney, a déclaré sans ambages que la Coalition « manquait d’excuses » pour s’opposer à la voix.Albanese a estimé que « peu importe la quantité de détails fournis, Peter Dutton dira: » oh, qu’en est-il de plus de détails? C’est le jeu qui se joue ici. »De toute évidence, malgré le bilan désastreux des référendums qui ont échoué lorsque le changement constitutionnel manque de soutien bipartisan, personne ne retient son souffle pour le soutien de Dutton.Ironiquement, le débat sur le projet de loi sur les machines équivaut à plus de délibérations internes que les libéraux n’en ont eu sur la voix elle-même.Le chef de l’opposition s’est engagé dans une campagne fantôme de trois mois en surface pour exiger des détails sur la voix, mais en soulevant en substance des doutes qui font baisser son soutien.Aider les travaillistes et la campagne du oui pourrait considérablement adoucir l’image de DuttonCette campagne est maintenant susceptible d’être prolongée parce qu’Albanese a opté contre les propositions visant à limiter les pouvoirs de la voix en lui permettant de participer aux décisions du parlement mais pas du gouvernement exécutif.Il a également rejeté un amendement pour que le parlement ait le pouvoir de déterminer l’effet juridique des représentations de la voix.Certains conservateurs constitutionnels en sont mécontents. L’opposition prétend, sans preuve, que le solliciteur général avait des inquiétudes quant au libellé qui a finalement été adopté.Rien n’empêche la Coalition de proposer des amendements par le biais de l’enquête parlementaire et avant un vote en juin sur le projet de loi organisant le référendum.Le changement constitutionnel proposé précise que le Parlement peut adopter des lois «relatives à la voix… y compris la composition, les fonctions, les pouvoirs et les procédures», donc même si le camp du oui remporte le référendum, un futur gouvernement pourrait toujours chercher à limiter le pouvoir de la voix en limitant la capacité de aller en justice si ses conseils ne sont pas suivis.C’est d’ailleurs pourquoi le débat sur les « détails » est si inutile : si la Coalition est d’accord sur le principe mais veut régler les « détails », elle peut essayer après le référendum ou lors du prochain gouvernement.Ce qui est intéressant du côté de la coalition, c’est que l’appel descendant sur le moment où jouer avec les travaillistes et quand les forcer dans les bras du banc croisé du Sénat est une dynamique qui se joue dans de nombreux domaines politiques, y compris sur le mécanisme de sauvegarde pour réduire émissions de gaz à effet de serre en cours de négociation cette quinzaine.En février, les libéraux modérés du cabinet fantôme Simon Birmingham et Paul Fletcher ont repoussé sans succès une décision de s’opposer au mécanisme de sauvegarde. La députée libérale Bridget Archer a également exprimé ses inquiétudes à l’époque, et Dutton les a publiquement avertis de se mettre en ligne.Maintenant, le Parti travailliste négocie avec les Verts, proposant de donner aux industries de combustibles non fossiles existantes une voie plus facile de réduction des émissions et de réduire les émissions du nouveau charbon et gaz, mais sans les interdire comme les Verts l’avaient demandé.Le danger pour les libéraux est que, sans délibération appropriée, ils seront enfermés dans l’opposition pour elle-même lors d’appels importants qui pourraient nuire à leur chef et à leur marque.Les travaillistes ont présenté la voix comme une chance pour le leadership national des deux côtés et ont exhorté Dutton à ne pas répéter l’erreur de boycotter les excuses aux générations volées (pour lesquelles il s’est excusé).Si le point final est que chacun peut voter selon sa propre conscience et faire campagne pour n’importe quel côté, pourquoi ne pas clarifier cela maintenant pour éviter les tirs amis comme la bordée de Ken Wyatt vendredi ?Pour peser l’opportunité : aider les travaillistes et la campagne du oui pourrait considérablement adoucir l’image de Dutton.S’opposer à la voix comporte des risques quelle que soit l’issue du référendum : si le oui l’emporte, Dutton n’obtiendra aucun crédit et le Labour aura réalisé une première historique ; si aucun ne gagne, cela pourrait être une victoire à la Pyrrhus qui cimente la réputation de Dutton en tant que naufrageur.Il est étrange de voir la Coalition recevoir un petit appel sur les règles du référendum alors qu’elle semble inconsciente des risques de se tromper ou de retarder l’inévitable.
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