Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Un homme de 39 ans est devenu la première personne en Angleterre et au Pays de Galles à être reconnue coupable de cyberflashing, qui est devenu un délit en janvier dans le cadre de la loi sur la sécurité en ligne.
Nicholas Hawkes, de Basildon dans l’Essex, a envoyé le 9 février des photos non sollicitées de son pénis en érection à une jeune fille de 15 ans et à une femme, a indiqué le Crown Prosecution Service. La femme a pris des captures d’écran de l’image sur WhatsApp et a signalé Hawkes à la police d’Essex le même jour.
Lundi, devant le tribunal d’instance de Southend, Hawkes a reconnu deux chefs d’accusation pour avoir envoyé une photographie ou un film d’organes génitaux pour provoquer une alarme, une détresse ou une humiliation, a indiqué le CPS. Il a été reconnu coupable à l’audience et placé en détention provisoire pour être condamné par le tribunal de la couronne de Basildon le 11 mars.
Sefer Mani du CPS Est de l’Angleterre a déclaré : « Le cyberflashing est un crime grotesque et le fait que nous ayons pu rendre justice rapidement aux deux victimes montre que la nouvelle loi fonctionne.
« Chacun devrait se sentir en sécurité où qu’il soit et ne pas être soumis à des images sexuelles non désirées. J’exhorte toute personne qui estime avoir été victime de cyberflashing à le signaler à la police et à savoir qu’elle sera prise au sérieux et que son identité sera protégée.
Les victimes de cyberflashing et d’abus basés sur l’image bénéficient d’un anonymat à vie en vertu de la loi sur les infractions sexuelles à partir du moment où elles déposent leur rapport.
Hawkes est déjà répertorié comme délinquant sexuel enregistré jusqu’en novembre 2033 après avoir été reconnu coupable et avoir reçu une ordonnance communautaire pour activité sexuelle avec un enfant de moins de 16 ans et dénonciation l’année dernière devant le tribunal de la Couronne de Basildon, a indiqué le CPS.
Il sera condamné pour violation de l’ordonnance de la même manière que pour la dernière infraction survenue en mars.