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UNLe saxophoniste ténor américain James Brandon Lewis possède l’un des sons les plus féroces du jazz moderne. Percutant et plein de mélodies déclaratives, il a sorti plus de 10 disques en tant que chef d’orchestre depuis ses débuts en 2010, Moments, channelant tout, du blues sinueux aux années 2014 Voyages divins à un évangile extatique en 2023 Pour Mahalia, avec amour et improvisations punk distordues avec le groupe post-rock The Messthetics la même année Oeil de moi. Le quatuor de Lewis est généralement un exutoire pour ses compositions les plus agiles, produisant des accompagnements harmoniquement complexes pour ses lourdes phrases de cor. Leur quatrième album, Transfiguration, n’est pas différent, comprenant huit pistes d’expérimentation angulaire mais explosive.
Le titre d’ouverture donne le ton, entremêlant les lignes expressives de Lewis aux polyrythmies du pianiste Aruán Ortiz avant d’atteindre un solo de sax fulgurant. Au fur et à mesure que l’album progresse, il y a de la variété parmi la cohérence du ton explosif de Lewis : un mélange funk sur Swerve, un rythme latin sur Per 6 et un swing rapide sur Black Apollo. Les compositions peuvent souvent sembler sur le point de se briser, produisant le rubato inquiet de Trinity of Creative Self ou l’entropie de Empirical Perception. Pourtant, à chaque instant où l’auditeur peine à s’accrocher, il y a un contrepoint de libération musicale : le saxophone vif de Lewis mène sans crainte des titres comme Élan Vital, consolidant sa place comme l’un des plus grands instrumentistes de sa génération.