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Tson film des animateurs écossais Will Anderson et Ainslie Henderson aurait pu être une pièce simple sur le diagnostic de cancer de la bouche de la mère d’Anderson et son acceptation du fait qu’elle tombe malade. Mais au lieu de cela, cela commence avec Anderson devant la caméra admettant à sa mère (récupérée, heureusement) qu’après cinq ans de travail intermittent, le film ressemble à un échec. « C’est un peu le bordel », dit-il, la voix brisée par l’émotion. Ce qu’il va faire, dit Anderson à sa mère, c’est lui montrer une partie de ce sur quoi il travaille. Le film se transforme ainsi en un documentaire décousu avec des éclairs d’originalité et des choses intéressantes à dire sur la forme elle-même.
Quand Anderson reçoit l’appel de sa mère – « c’est le mot en C » – il vit un petit moment professionnel. Les animations lo-fi qu’il crée avec Henderson suscitent le buzz dans l’industrie. Nous regardons un clip de sa mère riant avec l’un d’eux : une mouette tirée par un bâton parlant de manger une « salade de Glasgow » (ce serait des chips). Au moment où sa mère tombe malade, Anderson crée Dom (exprimé par Tobias Feltus), un chat noir sombre avec un ventre corpulent qui vit dans le coin de l’écran de son ordinateur portable et dispense des vérités insignifiantes sur la maison. «Vous êtes un lâche», dit-il à Anderson. « Vous vous cachez derrière votre travail. Vous ne passez pas de temps avec votre famille.
Un film plus soigné aurait pu transformer cela en un récit doux et rassurant sur une famille qui se réunit. J’ai l’impression qu’Anderson est un peu couveur ; il s’attaque au documentaire qu’il n’a pas réussi à réaliser comme on le ferait pour un jaune. Il semble mal à l’aise avec l’artifice de celui-ci, montrant comment ils ont recréé des scènes de la vie réelle pour la caméra. Ces méta-moments font de A Cat Called Dom un film formellement intéressant, mais ajoutent à la sensation d’inachevé et au sentiment qu’il s’agit d’un film en quête de sens.