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TTraditionnellement, les étiquettes de genre donnaient une idée générale du type d’expérience que vous pourriez vivre, qu’il s’agisse d’horreur, de comédie ou d’action. À l’ère du streaming, les choses sont beaucoup plus spécifiques, avec des plateformes comme Netflix proposant toujours plus de microgenres de niche : « Comédies cyniques mettant en vedette une forte femme principale » par exemple, ou « Classic Feelgood Opposites-Attract Movies ». Bobcat Moretti se sent taillé pour ce type de catégorisation. Nous avons ici un film sportif inspirant sur la transformation personnelle après un événement tragique de la vie, dans lequel un homme atteint de sclérose en plaques se met à la boxe dans le cadre d’un effort pour changer sa vie après une horrible tragédie familiale.
La passion et l’engagement des cinéastes sont évidents. Dans le rôle principal de Bobcat éponyme, Tim Realbuto a également co-écrit le scénario (avec le réalisateur Rob Margolies) et a perdu 70 kg (11e) au cours du tournage du film. De toute évidence, beaucoup de travail a également été consacré à la sécurisation du reste du casting, Vivica A Fox (Independence Day, Kill Bill) représentant le plus gros coup pour une production indépendante de cette nature et de ce budget. Ils ont également fait une très brève apparition de feu Coolio, bien que son temps d’écran soit minime.
Comme c’est malheureusement parfois le cas, le travail acharné et la passion ne se traduisent pas toujours par des œuvres de génie. Le film est inégal, avec certains moments qui fonctionnent parfaitement (merci à l’acteur-slash-cascadeur Jay Hieron, qui donne une performance crédible et méchante en tant que petit ami violent) côtoyant des scènes qui empruntent tellement aux clichés des films de boxe qu’elles semblent presque comme une parodie, quelle que soit l’intention sincère. Des phrases telles que « Très bien, gamin, je vais tenter ma chance avec toi » suggèrent soit une tentative délibérée de créer une sorte d’ultime hommage au film de boxe outsider, collé à partir de films précédents, soit simplement un manque de familiarité avec le genre. C’est comme si le film ne faisait pas vraiment confiance à ses moments originaux pour être autonomes, et ressentait plutôt le besoin de tout signaler.