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Ouious ne pouvez pas dire que le titre ne vous prévient pas. Citant la partie la plus sombre du vœu de mariage traditionnel et tournant à la fois autour du mariage et de la mortalité, ce film d’action assez idiot et plutôt étrange commence avec une mariée anonyme (Natalie Burn) et un marié (Ser’Darius Blain) se préparant à marcher dans l’allée. Mais avant que la marche nuptiale puisse commencer, le film passe à un moment différent où le couple en question gambade sur la plage portoricaine où se déroule et tourne le film. Ils vont dans un bar où ils rencontrent un autre couple plus âgé (Jason Patric et Nicole Arlyn), puis un autre crash nous ramène à un autre point de l’histoire où la mariée fuit son mari, mais est poursuivie par les sept. les garçons d’honneur du mariage – y compris le témoin menaçant et misogyne (Cam Gigandet) qui continue d’insister pour réciter son grand discours, alors même qu’il se prépare à tuer la mariée elle-même.
Il s’avère – et arrêtez de lire ici si vous n’aimez pas les spoilers – que les mariés et tous les participants à la noce, même les inconnus rencontrés au bar, appartiennent ou ont appartenu à un autre de ces réseaux d’assassinats insidieux comme le un dans la franchise John Wick et d’autres films. Celle-ci s’appelle l’Université, ce qui est légèrement drôle étant donné à quel point de nombreux assassins de garçons d’honneur se révèlent stupides. Notre fille, toujours dans sa robe de mariée moulante en dentelle, qui devient de plus en plus tachée de sang au fur et à mesure que le film avance, se bat chacun son tour alors qu’ils la traquent autour d’une villa chic où elle se cache. On commence à se demander qui, selon les cinéastes, est censé être leur spectateur idéal – peut-être des survivants d’abus qui rêvent de brandir des bouteilles cassées et des tronçonneuses sur des hommes qui leur ont fait du tort ?
Burn n’a pas beaucoup de portée en tant qu’acteur mais elle est gracieuse au combat, adepte des coups de pied circulaires et du grand écart, ce dernier mouvement dont l’utilité au combat est discutable mais qui semble génial à l’écran. C’est juste dommage que le scénario lui donne, ainsi qu’au reste du casting, un dialogue aussi terrible, et traîne le tout avec tous ces flashs idiots d’avant en arrière.