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jeC’est le malheur de ce film indépendant britannique gorgé d’eau d’être un drame réel sur une nageuse d’endurance, qui sort alors que les gens parlent encore d’Annette Bening dans le chaud-cœur outsider hollywoodien Nyad, également d’une nageuse d’endurance. Nyad coupe l’eau avec puissance et confiance. Ce film, malheureusement, donne l’impression d’avoir des crampes après avoir contracté une douzaine de verrues dans les pédiluves.
Kirsten Callaghan incarne Mercedes Gleitze, la jeune nageuse de Brighton d’origine allemande dans les années 1920, en mission pour devenir la première femme britannique à traverser la Manche à la nage, mais confrontée à chaque coup au snobisme, au sexisme et à la xénophobie. Sa principale concurrente dans la compétition féminine de natation de la Manche est la hautaine Edith Gade (Victoria Summer), une tricheuse notoire – inspirée de la nageuse discréditée Mona McLennan – dont la falsification scandaleuse contamine les efforts honnêtes de Mercedes et l’oblige à répéter sa traversée de la Manche avec un » baignade de justification » lorsque le temps était trop mauvais pour la tentative.
La rivalité mince et vive d’Edith avec Mercedes autour de cocktails est ce qui se rapproche le plus de ce film qui prend réellement vie. Notre héroïne a naturellement l’entraîneur grincheux standard, Harold Best (John Locke), apparemment un composite romancé en partie basé sur Bill Burgess, l’ancien nageur de la Manche qui a entraîné la nageuse américaine Gertrude Ederle.
Tout cela aurait pu donner lieu à un film intrigant, passionnant et d’une complexité inattendue. Mais ça coule. Cela est en partie dû aux détails d’époque et aux clichés de genre (Les Garçons dans le bateau de George Clooney a été percé sous la ligne de flottaison de la même manière). Mais cela est également dû à des lectures de lignes très incertaines et à une direction engourdie. Ce film porte des ailes d’eau en plomb.