Customize this title in french Revue Dogman – L’histoire bizarre et macabre de Luc Besson sur les chiens, le crime et la drague | Film

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

Ta question de savoir si Luc Besson a retrouvé son groove ne fera qu’agacer ceux qui contestent toute ancienne propriété du groove. Besson lui-même pourrait affirmer que le succès au box-office est de toute façon le seul critère d’évaluation du groove. Quoi qu’il en soit, ce thriller dramatique bizarre et macabre est regardable et Caleb Landry Jones donne une performance étrangement engageante dans le rôle de Douglas Munrow, un « Dogman » en fauteuil roulant, interrogé par la psychologue policière Evelyn (Jojo T Gibbs) après avoir été arrêté en pleine drague. matériel, taché de sang, alors qu’il était au volant d’une camionnette remplie de ses « bébés » – ses chiens.

La conversation de Murrow avec Evelyn révèle en flash-back une enfance gardée dans un chenil par un père violent, aux mains duquel une terrible blessure a été subie ; puis il y a des années d’adolescence poignantes dans un foyer pour enfants où ses yeux sont ouverts à la poésie par un étudiant en art dramatique amoureux de Shakespeare qui fait de lui son plus grand fan – et lui brise le cœur en partant un jour sans lui dire au revoir. Murrow obtient un travail sinistre en s’occupant d’une fourrière pour chiens et entraîne ses détenus canins à attaquer sur demande et à pénétrer dans les maisons des riches pour voler des bijoux dans des scènes de braquage outrageusement stupides. Et il fait un show de drag comme Edith Piaf et Marlene Dietrich le week-end.

C’est vraiment un film étrange – et Besson a-t-il raison de croire, incidemment, que les prisons américaines utilisent encore de grandes clés métalliques qui tintent sur les anneaux des portes des cellules, par opposition aux porte-clés électroniques modernes ? C’est pourtant amusant, car à l’esprit du Fantôme de l’Opéra succède celui d’Hannibal Lecter. Ensuite, il y a les chiens eux-mêmes – le spectacle de chiens de toutes formes et tailles courant dans les rues semble toujours plus drôle qu’effrayant. (Il est possible que Besson ait étudié le film fulleresque White God de Kornél Mundruczó, qui a la même ruée chaotique de toutou.) C’est superficiel et insouciant, ne signifiant rien du tout, mais emporté avec panache.

Dogman est sur les plateformes numériques à partir du 11 mars.

Source link -57