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UNLes amateurs d’animation apprécieront le talent artistique de ce film doucement éducatif explorant la vie ultérieure de Léonard de Vinci (un Stephen Fry avunculaire). L’image, réalisée par Jim Capobianco, artiste scénariste de Pixar, est une combinaison agréable de styles, mêlant stop motion tactile et segments expressifs dessinés à la main en 2D (supervisés par Tomm Moore de Cartoon Saloon) qui donnent vie à des idées scientifiques.
Ouverture à Rome en 1516, L’inventeur explore une période mouvementée au cours de laquelle Léonard s’attire la colère du pape (Matt Berry) et est invité en France et au service du roi François Ier. La recherche passionnée du savoir de Léonard le conduit à des pratiques secrètes – ses dissections sont effectuées sur des cadavres récemment exhumés, volé la nuit par ses fidèles assistants. Aussi charmant et informatif soit-il, le film pourrait avoir du mal à intéresser un public plus jeune, habitué à une comédie plus ouverte dans leurs films d’animation et à moins de pillages de tombes.