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Au moins 1 000 maisons ont été détruites et cinq personnes ont été tuées lorsqu’un séisme de magnitude 6,9 a frappé la Papouasie-Nouvelle-Guinée, ont annoncé les autorités lundi 25 mars. Les équipes de secours et les responsables ont dû faire face à des difficultés alors qu’ils effectuaient les opérations de sauvetage. La tragédie s’est produite dimanche alors même que des dizaines de villages situés sur les rives du violent fleuve Sepik ont été inondés, ajoutant ainsi encore plus de misère aux habitants.
Le gouverneur du Sepik Est, Allan Bird, a déclaré dans un communiqué : « Jusqu’à présent, environ 1 000 maisons ont été perdues », ajoutant que les équipes d’urgence « évaluaient encore l’impact » d’une secousse qui « a endommagé la plupart des régions de la province ».
Le commandant de la police de la province, Christopher Tamari, a déclaré à l’agence de presse AFP qu’au moins cinq personnes avaient perdu la vie dans le puissant tremblement de terre.
Tamari a ajouté que le nombre de victimes risquait davantage d’augmenter à mesure que les autorités fouillaient les décombres et la région isolée recouverte de jungle.
Le gouverneur Bird a déclaré qu’il était urgent d’augmenter l’approvisionnement en articles médicaux, en eau potable et en abris temporaires dans la zone sinistrée.
Pour faciliter les efforts de recherche, le Premier ministre de PNG a approuvé un programme de financement d’urgence de 130 millions de dollars. Le Premier ministre James Marape a déclaré que ce plan contribuerait aux efforts de redressement suite à « une série de catastrophes naturelles » à travers le pays.
« La Papouasie-Nouvelle-Guinée a récemment été durement touchée par le tremblement de terre, les inondations causées par de fortes pluies et les glissements de terrain qui en ont résulté, les grandes marées, les vents violents et autres », a-t-il déclaré dimanche soir dans un communiqué suite au séisme.
La PNG est aux prises avec d’intenses inondations depuis un certain temps déjà, avec au moins 23 personnes tuées au début du mois rien que dans la région des Hautes Terres intérieures.
La Papouasie-Nouvelle-Guinée est fréquemment confrontée à des tremblements de terre en raison de sa situation dans la « ceinture de feu » sismique, une région caractérisée par une activité tectonique intense s’étendant sur l’Asie du Sud-Est et le bassin du Pacifique.
Même si les tremblements de terre n’entraînent généralement pas de dégâts importants dans les hautes terres de la jungle, peu peuplées, ils déclenchent souvent des glissements de terrain dévastateurs.
Alors qu’une grande partie des neuf millions d’habitants du pays résident dans des zones rurales éloignées des centres urbains, le terrain difficile et les infrastructures limitées, notamment les routes non goudronnées, posent souvent des problèmes pour l’efficacité des opérations de recherche et de sauvetage.
(Avec la contribution des agences)