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Concernant l’article de Gunnar Ardelius (En Suède, nous sommes fiers de notre « neutralité ». La vérité n’est pas si claire, 7 février), dans les petites villes et villages du côté français de la frontière franco-suisse, c’était encore le Il y a 30 ans, c’était une coutume – et c’est peut-être encore le cas – de menacer les enfants qui refusaient d’obéir aux instructions de leurs parents de « Je vais chercher un Suédois ». Il s’agit du comportement de certains mercenaires suédois lors de diverses guerres de la région, dont la guerre de Trente Ans (1618-48), et notamment d’une escarmouche particulièrement féroce près de la ville de Morteau, où le fleuve aurait rempli avec du sang. Les souvenirs ont la vie dure.
Charles Guillaume
Besançon, France
John Crace dit : « Personne ne pense un instant que [Rishi] Sunak est un parieur » (Semaine digérée, 9 février). C’est précisément ce qu’il est, sur le plan récréatif, professionnel et politique. Il a parlé de son plaisir à parier sur le cricket, de sa carrière dans la gestion de fonds spéculatifs et, en tant qu’homme politique, il était un fervent partisan de l’énorme pari raté du Brexit.
Geoff Booth
Knebworth, Hertfordshire
Claire Cohen (15 février) nous invite à être choqués par sa diversité d’obscénités, parmi lesquelles « enculagement », « knobber » et « biscuits au cul ». Je suis beaucoup plus offensé par son utilisation du mot à la mode « impactant ».
Gerwyn Moseley
Gilwern, Monmouthshire
Le plus grand casse-tête pour moi chaque semaine est de trouver les choses qui fleurissent dans le Saturday Guardian. S’il vous plaît, rassemblez-les tous au même endroit, puis laissez-les tranquilles. Je jure que vous les déplacez de semaine en semaine.
Sally Barnard
Steyning, Sussex de l’Ouest