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Si l’avion choisi et le premier vertiport sont prêts, les porteurs du projet doivent encore convaincre les autorités et les régulateurs.
Prendre l’avion plutôt que la route pourrait bientôt être possible à Paris : un service de taxi aérien électrique est en préparation et pourrait être lancé lors des Jeux olympiques de 2024.
Mais à quoi ressemblera réellement le service ? Euronews a visité le premier vertiport d’Europe, un terminal d’essais à Pontoise, juste à l’extérieur de Paris.
Le premier vertiport d’Europe
Damian Kysely, responsable des infrastructures pour l’Europe et le Moyen-Orient chez Skyports, nous a montré les installations destinées aux futurs passagers.
« Devant le premier portique, vous allez vous enregistrer. Il faut s’assurer que vous êtes la bonne personne au bon moment », explique-t-il.
Il nous emmène ensuite dans un petit salon passagers. « Environ cinq minutes avant le départ, les passagers seront invités à monter à bord du taxi aérien. Là encore, nous disposons d’un portail biométrique ; [once through] ils sont autorisés à embarquer », dit-il.
L’avion-taxi pourra atterrir sur l’un des cinq vertiports de la région parisienne, dont l’un sera situé à Paris sur une barge flottant sur la Seine.
Les habitants doivent encore se prononcer sur l’arrivée de ces avions électriques. Ils sont quatre fois plus silencieux qu’un hélicoptère, insiste le groupe Aéroport de Paris, fortement impliqué dans le projet.
Edward Arkwright, directeur exécutif du groupe ADP, souligne que « les nouvelles formes de transport aérien, c’est d’abord l’aviation bas carbone. C’est l’aviation qui rend possibles d’autres usages : ceux auxquels nous avons pensé comme le transport de personnes, de colis, de matériel médical. , et les déplacements d’urgence. Ensuite, ceux auxquels nous n’avons pas encore pensé », affirme-t-il.
En attente d’homologation
Du côté du constructeur, la société allemande Volocopter qui pilote le projet espère obtenir le feu vert de l’Agence européenne de la sécurité aérienne dans les plus brefs délais.
« Notre première priorité aujourd’hui, à laquelle nous travaillons tous et à quoi nous consacrons toutes nos ressources, est la certification de la machine », explique Jean-Christophe Drai, directeur commercial de Volocopter France. « Nous visons donc un objectif raisonnable, quelque chose qui peut être réalisé, qui peut réellement exister, plutôt que de faire des choses et des promesses que nous ne pourrons jamais tenir », assure-t-il.
Paris sera-t-elle la première capitale au monde à lancer un service de taxi volant ? Les gens derrière le projet le croient. Ils ont moins d’un an avant les Jeux olympiques pour convaincre les régulateurs et les autorités.