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Le récit d’Alexandra McTeare sur son attente pour une opération au genou et tous les problèmes qui y sont associés (Letters, 5 mars) résonne avec ma propre expérience. Cependant, ici à Brighton, l’attente pour une opération du genou est encore compliquée par l’obstacle supplémentaire que représente l’inscription sur la liste d’attente.
J’ai consulté mon médecin généraliste il y a plus d’un an pour des douleurs arthritiques au genou, mais on m’a informé qu’il ne pouvait pas m’orienter directement vers un chirurgien, car cela ne pouvait se faire que par l’intermédiaire d’un groupe particulier de physiothérapeutes. Pendant plus de neuf mois, j’ai consulté plusieurs physiothérapeutes, mais je n’ai pas été orienté vers un chirurgien. Il apparaît que les non-médecins de ce groupe de kinésithérapeutes opèrent une forme de rationnement opaque de l’accès aux chirurgiens orthopédistes (éventuellement en fonction de mon âge de 76 ans) pour limiter le nombre de patients inscrits sur liste d’attente.
Un cynique pourrait suggérer qu’il s’agit là d’une politique gouvernementale visant à modifier les statistiques sur les listes d’attente. Après 10 mois, à cause d’un mélange de douleur et de désespoir, et du sentiment de mes propres années de déclin, j’ai été obligé de contracter à contrecœur un emprunt pour consulter un chirurgien orthopédiste en privé (dans le même hôpital et avec les mêmes chirurgiens que les patients du NHS). ). J’espère seulement que cela en vaudra la dépense et que je vivrai assez longtemps pour rembourser le prêt et ne pas le laisser en héritage à mon fils.
Éric Tyrer
Brighton, Sussex de l’Est