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OQu’en est-il de Walter Smith III et du « casual » ? Le premier album du saxophoniste texan en 2005 s’intitulait Présentation décontractéeet une décennie plus tard, à son quatrième, il nous a assuré qu’il était Toujours décontracté. Pour ses débuts sur Blue Note, il a réuni les six acteurs de cet album pour Retour à Décontractésur lequel il réaffirme ses qualités de saxophoniste ténor pour notre époque, son ton aérien faisant écho au passé – en particulier, Dexter Gordon – tout en embrassant la complexité inflexible du post-bop.
C’est un ensemble attrayant et diversifié d’originaux, à l’exception d’une reprise de Mother Stands for Comfort de Kate Bush. Une grande partie est loin d’être décontractée. L’ouverture, Contra, du nom d’un jeu informatique de l’enfance de Smith et ludique de manière appropriée, est prise dans un clip furieux, avec l’aide du guitariste Matt Stevens et du batteur Kendrick Scott. River Styx est une affaire plus élégante, portée par la trompette d’Ambrose Akinmusire, et les joueurs de soutien ont de l’espace sur les six minutes de Shine. Après le riff lancinant de Pup – Pow, des humeurs plus réfléchies incluent cette reprise de Kate Bush (une relecture sensuelle d’une mélodie délicate) et Revive, une pièce bluesy de fin de soirée où Smith fait un magnifique duo avec le pianiste Taylor Eigsti. Un régal somptueux.