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RIP 2023 – Ouf, c’était une année qu’aucun de nous ne voudrait revivre. Il y a de fortes chances que nous n’ayons pas à le faire au cours des prochaines années.
À quel point l’année dernière s’est-elle mal passée ?
RealTrends suit les données du marché immobilier depuis 1979, y compris les ménages, les ventes de maisons, les taux hypothécaires moyens, etc. L’un des calculs les plus importants que nous effectuons chaque année est de mesurer le pourcentage de tous les ménages qui ont acheté une maison, qu’elle soit neuve ou existante, en une année donnée. Au cours des 40 dernières années, nous avons suivi ce chiffre, le pourcentage moyen de tous les ménages (locataires et propriétaires occupés) qui ont acheté une maison chaque année était de 4,78 % et la médiane était de 4,64 %.
Le facteur pour 2023 était de 3,58 %. Ce facteur n’a pas été aussi bas depuis l’année de récession de 1981. Même pendant le ralentissement économique de 2006 à 2010, ce facteur n’a atteint qu’un minimum de 3,84 % (2010).
Un autre fait surprenant est qu’en 2023, un peu plus de 4 millions de ventes de maisons existantes ont été enregistrées. C’était presque exactement le nombre de personnes qui ont échangé leurs mains en 1979. Cependant, cette année-là, il n’y avait que 80 millions de foyers aux États-Unis. À la fin de 2023, il y avait environ 131 millions de ménages, soit 51 millions de ménages de plus dans le pays, et le secteur a enregistré le même nombre de ventes de logements existants.
Voilà à quel point 2023 a été mauvaise pour ceux d’entre nous qui travaillent dans ce secteur. Par exemple, si nous avions vendu le nombre de maisons indiqué par la moyenne à long terme, soit 4,78 %, cela aurait généré plus de 6,2 millions de ventes de maisons existantes.
Et les prochaines années ?
Il est peu probable que les taux hypothécaires reviennent dans la fourchette de 3,0 % de sitôt, mais les prévisions tablent sur une fourchette comprise entre 4,5 % et 5,0 % au cours des prochaines années (2 à 2,5 % au-dessus du taux d’inflation général).
À la fin de 2023, les prix des logements existants s’échangeaient à 4,73 fois le revenu médian des ménages, soit 12 à 13 % au-dessus de la moyenne à long terme (la moyenne sur 40 ans du prix moyen des logements existants est 4,2 fois le revenu médian des ménages).
Il existe un facteur important difficile à mesurer. Le désir des Millennials et de la génération Z de devenir propriétaires est-il toujours aussi fort que par le passé ?
Ce désir surmontera-t-il la hausse des taux d’intérêt, la hausse des prix de l’immobilier et la rareté des stocks pour ramener le niveau d’achat de maisons aux moyennes historiques ?
Voilà quelques-unes des grandes inconnues auxquelles l’industrie devra faire face à l’avenir.
Steve Murray est le fondateur et associé de RTC Consulting et conseiller principal chez HW Media.