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Un membre du personnel de l’ambassade indienne en poste à Moscou a été arrêté le 28 janvier dans sa ville natale de l’Uttar Pradesh pour avoir divulgué des informations militaires indiennes sensibles. L’homme aurait été attiré dans une toile d’espionnage par l’agence d’espionnage pakistanaise Inter-Services Intelligence (ISI), ont révélé les enquêteurs cette semaine.
Piège à miel
Satyendra Siwal, un assistant de sécurité de 27 ans en poste à l’ambassade indienne à Moscou depuis 2021, selon les médias, a avoué avoir divulgué des informations sur les installations militaires indiennes et sur des questions de politique étrangère.
« Au cours de son mandat à Moscou, il est entré en contact avec une femme qui prétendait être originaire du Canada et a développé une relation avec elle, bien qu’il soit marié et qu’il ait des enfants », ont révélé les enquêteurs.
La femme, qui travaillait prétendument pour l’ISI pakistanais, a incité Siwal à révéler des données classifiées en échange d’argent (25 ₹ Lakh ou 2,5 millions de dollars) par l’intermédiaire de ses contacts.
« Siwal s’est vu offrir de l’argent en échange d’informations via ses contacts », a déclaré un officier de l’Anti-Terrorist Squad (ATS), tel que rapporté par le Times Of India.
Les agents de l’ATS ont découvert plusieurs paiements provenant de sources non identifiées sur le compte bancaire indien de Siwal à Moscou, ce qu’il n’a pas pu expliquer.
L’ATS a maintenant demandé à Moscou d’y authentifier les détails des comptes bancaires de Siwal.
Accusations auxquelles Siwal est confronté
Siwal fait désormais face à des accusations en vertu de l’article 121A (complot contre l’État) et de la loi sur les secrets officiels de 1923.
L’ADG de l’UP ATS, Mohit Agarwal, a confirmé que tous les appareils électroniques de Siwal ont été confisqués et envoyés pour un audit médico-légal afin de récupérer toute donnée effacée ou falsifiée. Citant des sources de l’ATS, la publication rapporte que des agents de l’ISI ont tenté d’attirer les employés du ministère des Affaires étrangères (MEA) avec des incitations financières pour obtenir des informations sensibles.
(Avec la contribution des agences)